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Une délégation américaine menée par Steve Witkoff, accompagnée de Jared Kushner, a atterri mardi 2 décembre à Moscou dans le but de discuter du plan de paix en 28 points proposé par Washington. Ces négociations pourraient permettre d'éviter une guerre qui s'est déjà rapprochée des frontières européennes.
Selon les Américains, cet accord pourrait mettre fin à la violence et rétablir la paix en Ukraine. La délégation est attendue avec scepticisme par certains analystes russes qui ne croient pas que Washington soit capable de négocier un accord qui satisfasse leurs revendications territoriales.
L'émissaire américain, Steve Witkoff, doit rencontrer Vladimir Poutine, le président russe. Cette rencontre sera la sixième fois cette année où il se rend en Russie, ce qui montre une certaine confiance de la part de Washington dans les négociations avec Moscou.
Les Américains ont rédigé un plan de paix en 28 points sans les alliés européens de Kiev. Un projet devenu controversé car il cède à des revendications russes qui sont considérées comme incompatibles par les Ukrainiens, notamment la question du territoire des oblasts Donetsk et Lougansk.
La Russie bloque sur certains points du plan de paix proposé par Washington. Les autorités russes y voient deux aspects qui sont inacceptables : la maîtrise totale des deux oblasts et le problème des garanties de sécurité avec la présence de forces européennes sur le territoire ukrainien.
Selon Vincent Crouzet, expert en renseignement, les Russes réfutent ces revendications qui sont considérées comme inacceptables par Kiev. Les Ukrainiens ne sont pas prêts à abandonner leur territoire pour obtenir une garantie de sécurité qui est jugée insuffisante par le Kremlin.
La porte-parole de la Maison-Blanche assure que Washington a travaillé très dur sur ce dossier et qu'elle est convaincue d'un accord. Cependant, la situation reste tendue car les Américains sont prêts à négocier des compromis qui pourraient ne pas être acceptés par les Russes.
Le Kremlin est favorable à engager des négociations de paix avec l'Ukraine, mais il entend utiliser ces pourparlers pour atteindre ses objectifs militaires. La situation est donc tendue et il faudra attendre les résultats de cette rencontre pour savoir si un accord sera possible.
Selon les Américains, cet accord pourrait mettre fin à la violence et rétablir la paix en Ukraine. La délégation est attendue avec scepticisme par certains analystes russes qui ne croient pas que Washington soit capable de négocier un accord qui satisfasse leurs revendications territoriales.
L'émissaire américain, Steve Witkoff, doit rencontrer Vladimir Poutine, le président russe. Cette rencontre sera la sixième fois cette année où il se rend en Russie, ce qui montre une certaine confiance de la part de Washington dans les négociations avec Moscou.
Les Américains ont rédigé un plan de paix en 28 points sans les alliés européens de Kiev. Un projet devenu controversé car il cède à des revendications russes qui sont considérées comme incompatibles par les Ukrainiens, notamment la question du territoire des oblasts Donetsk et Lougansk.
La Russie bloque sur certains points du plan de paix proposé par Washington. Les autorités russes y voient deux aspects qui sont inacceptables : la maîtrise totale des deux oblasts et le problème des garanties de sécurité avec la présence de forces européennes sur le territoire ukrainien.
Selon Vincent Crouzet, expert en renseignement, les Russes réfutent ces revendications qui sont considérées comme inacceptables par Kiev. Les Ukrainiens ne sont pas prêts à abandonner leur territoire pour obtenir une garantie de sécurité qui est jugée insuffisante par le Kremlin.
La porte-parole de la Maison-Blanche assure que Washington a travaillé très dur sur ce dossier et qu'elle est convaincue d'un accord. Cependant, la situation reste tendue car les Américains sont prêts à négocier des compromis qui pourraient ne pas être acceptés par les Russes.
Le Kremlin est favorable à engager des négociations de paix avec l'Ukraine, mais il entend utiliser ces pourparlers pour atteindre ses objectifs militaires. La situation est donc tendue et il faudra attendre les résultats de cette rencontre pour savoir si un accord sera possible.