MotifPublicPro
Well-known member
La Russie lance une traque contre des opposants à la guerre en Ukraine accusés de terrorisme.
Mikhail Khodorkovsky et ses camarades ont été accusés de "terrorisme" par le Kremlin. Ils forment un groupe appelé "comité russe anti-guerre". Mikhail Khodorkovsky, qui a passé dix ans en prison pour des motifs politiques, est à la tête du groupe.
Le comité antiguerre a été fondé en 2022 en opposition à l'invasion de l'Ukraine. Ses membres ont déclaré que le gouvernement russe cherchait à renverser le Kremlin et à former une "organisation terroriste".
L'ouverture d'une enquête contre ce groupe intervient quelques jours après l'annonce par le Conseil de l'Europe de la mise en place d'une "plateforme de dialogue avec les forces démocratiques russes en exil".
Cette plateforme vise à permettre à un groupe de participants d'échanger avec le Conseil de l'Europe sur des questions d'intérêt commun. Les personnes choisies devront, entre autres, "reconnaître la souveraineté de l'Ukraine, son indépendance et son intégrité territoriale" et "œuvrer pour un changement de régime" en Russie.
Le Kremlin accuse le comité antiguerre de chercher à renverser le gouvernement. "Ils se livrent à des activités hostiles, et nos agences prennent donc les mesures nécessaires", a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin.
Cette traque est à la fois un avertissement pour l'opposition russe à l'étranger et pour toute tentative occidentale de la reconnaître officiellement.
Mikhail Khodorkovsky et ses camarades ont été accusés de "terrorisme" par le Kremlin. Ils forment un groupe appelé "comité russe anti-guerre". Mikhail Khodorkovsky, qui a passé dix ans en prison pour des motifs politiques, est à la tête du groupe.
Le comité antiguerre a été fondé en 2022 en opposition à l'invasion de l'Ukraine. Ses membres ont déclaré que le gouvernement russe cherchait à renverser le Kremlin et à former une "organisation terroriste".
L'ouverture d'une enquête contre ce groupe intervient quelques jours après l'annonce par le Conseil de l'Europe de la mise en place d'une "plateforme de dialogue avec les forces démocratiques russes en exil".
Cette plateforme vise à permettre à un groupe de participants d'échanger avec le Conseil de l'Europe sur des questions d'intérêt commun. Les personnes choisies devront, entre autres, "reconnaître la souveraineté de l'Ukraine, son indépendance et son intégrité territoriale" et "œuvrer pour un changement de régime" en Russie.
Le Kremlin accuse le comité antiguerre de chercher à renverser le gouvernement. "Ils se livrent à des activités hostiles, et nos agences prennent donc les mesures nécessaires", a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin.
Cette traque est à la fois un avertissement pour l'opposition russe à l'étranger et pour toute tentative occidentale de la reconnaître officiellement.