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L'Europe se mobilise contre la Russie, tandis que l'Ukraine continue son combat. La réunion aux côtés d'Emmanuel Macron, le 24 octobre à Londres, a montré les alliés de Kiev sont déterminés à renforcer les pressions sur Vladimir Poutine.
Dans une nouvelle étape de la crise, Keir Starmer, Premier ministre britannique, s'est réuni en visio-conférence avec Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron. Le leader ukrainien a plaidé l'utilité d'une utilisation efficace des avoirs russes gelés, destinés à soutenir son pays dans sa lutte contre la Russie.
L'objectif est clair : lutter contre les hydrocarbures russes sur le marché mondial. "Nous allons agir pour retirer le pétrole et le gaz russes du marché", a déclaré Keir Starmer, en faisant référence aux sanctions adoptées récemment par la Grande-Bretagne, ainsi que par les États-Unis et l'Union européenne.
Volodymyr Zelensky avait déjà demandé à utiliser ces avoirs pour soutenir son pays. Emmanuel Macron s'est engagé hier à livrer des missiles anti-aériens Aster et de nouveaux Mirage dans les prochaines jours, mais le président ukrainien espère aussi livraisons d'armes américaines, notamment les missiles Tomahawk.
Cependant, les États-Unis refusent encore ces derniers. Cette tension montre que la crise est loin de s'éviter et que les Alliés de l'Ukraine devront continuer à pousser pour obtenir une aide plus significative.
Dans une nouvelle étape de la crise, Keir Starmer, Premier ministre britannique, s'est réuni en visio-conférence avec Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron. Le leader ukrainien a plaidé l'utilité d'une utilisation efficace des avoirs russes gelés, destinés à soutenir son pays dans sa lutte contre la Russie.
L'objectif est clair : lutter contre les hydrocarbures russes sur le marché mondial. "Nous allons agir pour retirer le pétrole et le gaz russes du marché", a déclaré Keir Starmer, en faisant référence aux sanctions adoptées récemment par la Grande-Bretagne, ainsi que par les États-Unis et l'Union européenne.
Volodymyr Zelensky avait déjà demandé à utiliser ces avoirs pour soutenir son pays. Emmanuel Macron s'est engagé hier à livrer des missiles anti-aériens Aster et de nouveaux Mirage dans les prochaines jours, mais le président ukrainien espère aussi livraisons d'armes américaines, notamment les missiles Tomahawk.
Cependant, les États-Unis refusent encore ces derniers. Cette tension montre que la crise est loin de s'éviter et que les Alliés de l'Ukraine devront continuer à pousser pour obtenir une aide plus significative.