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L'Assemblée nationale a adopté avec majorité le budget de la Sécurité sociale pour 2026, malgré les résistances des écologistes qui ont choisi de s'abstenir. Le vote a été organisé après plusieurs mois de négociations entre les partis politiques, qui ont finalement trouvé un compromis sur les dépenses et les recettes.
Le budget prévoit une suspension de la réforme des retraites, ce qui a été un point de contention pour certaines formations politiques. Les députés du Rassemblement national ont jugé le texte "socialement injuste et économiquement délétère". En revanche, les socialistes ont plaidé en faveur d'un budget nécessaire, même si certains d'entre eux ont exprimé leur insatisfaction avec la composition de la majorité.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué la majorité de responsabilité obtenue avec le vote du budget, ce qui montre que le compromis n'est pas un slogan pour lui. Il a également souligné que le texte améliore concrètement notre Sécurité sociale et nous prémunit de tout dérapage des comptes sociaux en réduisant leur déficit.
La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a félicité les députés pour leur travail, notamment la majorité qui a permis d'aboutir à ce vote. Pour Olivier Faure, premier secrétaire du PS, la victoire est celle du Parlement lui-même et des Français.
Le patron de LR Bruno Retailleau a dénoncé un budget qui n'est pas bon pour la France et qui ne répond pas aux "convictions" de la droite. Il a également souligné que ce n'est pas le fruit de ses convictions, mais plutôt une copie du gouvernement.
Enfin, Sébastien Lecornu a remporté son pari et obtenir l'adoption du budget de la Sécurité sociale par un vote des députés. Sa méthode, la recherche du compromis à tout prix, a réussi là où celles de ses deux prédécesseurs Michel Barnier et François Bayrou avaient échoué.
Le budget prévoit une suspension de la réforme des retraites, ce qui a été un point de contention pour certaines formations politiques. Les députés du Rassemblement national ont jugé le texte "socialement injuste et économiquement délétère". En revanche, les socialistes ont plaidé en faveur d'un budget nécessaire, même si certains d'entre eux ont exprimé leur insatisfaction avec la composition de la majorité.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué la majorité de responsabilité obtenue avec le vote du budget, ce qui montre que le compromis n'est pas un slogan pour lui. Il a également souligné que le texte améliore concrètement notre Sécurité sociale et nous prémunit de tout dérapage des comptes sociaux en réduisant leur déficit.
La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a félicité les députés pour leur travail, notamment la majorité qui a permis d'aboutir à ce vote. Pour Olivier Faure, premier secrétaire du PS, la victoire est celle du Parlement lui-même et des Français.
Le patron de LR Bruno Retailleau a dénoncé un budget qui n'est pas bon pour la France et qui ne répond pas aux "convictions" de la droite. Il a également souligné que ce n'est pas le fruit de ses convictions, mais plutôt une copie du gouvernement.
Enfin, Sébastien Lecornu a remporté son pari et obtenir l'adoption du budget de la Sécurité sociale par un vote des députés. Sa méthode, la recherche du compromis à tout prix, a réussi là où celles de ses deux prédécesseurs Michel Barnier et François Bayrou avaient échoué.