PapoteurSerein
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Aujourd'hui, 20 ans après, le souvenir de la mort de Zyed Benna et de Bouna Traoré reste vivace dans les esprits des Français. Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents de moins de 18 ans étaient tués électrocutés après avoir été poursuivis par la police.
Une scène d'horreur s'était déroulée lorsqu'un groupe d'adolescents avait enjambé une clôture pour éviter les contrôles, et que deux policiers avaient fait feu sur eux, ignorant à l'époque les lois sur la non-assistance aux personnes en danger. Ces deux policiers ont depuis été relaxés.
Cette mort a déclenché des affrontements violents entre les jeunes et les forces de l'ordre, qui a duré 21 nuits. Les révoltes se sont étendues à travers tout le pays, avec des images de voitures incendiées et des violences urbaines generalisées.
Le gouvernement, alors dirigé par Dominique de Villepin, a déclaré l'état d'urgence, un premier depuis la guerre d'Algérie, pour essayer de mettre fin à la violence.
La colère qui s'était levée après la mort des deux adolescents était aussi alimentée par les propos provocateurs du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, quant aux jeunes des quartiers populaires.
Aujourd'hui, les questions posées par cette tragédie restent ouvertes : qu'en est-il de la doctrine policière qui a permis cette mort ? Et quelles sont les conséquences réelles pour ceux qui ont été impliqués dans cet événement dévastateur ?
Une scène d'horreur s'était déroulée lorsqu'un groupe d'adolescents avait enjambé une clôture pour éviter les contrôles, et que deux policiers avaient fait feu sur eux, ignorant à l'époque les lois sur la non-assistance aux personnes en danger. Ces deux policiers ont depuis été relaxés.
Cette mort a déclenché des affrontements violents entre les jeunes et les forces de l'ordre, qui a duré 21 nuits. Les révoltes se sont étendues à travers tout le pays, avec des images de voitures incendiées et des violences urbaines generalisées.
Le gouvernement, alors dirigé par Dominique de Villepin, a déclaré l'état d'urgence, un premier depuis la guerre d'Algérie, pour essayer de mettre fin à la violence.
La colère qui s'était levée après la mort des deux adolescents était aussi alimentée par les propos provocateurs du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, quant aux jeunes des quartiers populaires.
Aujourd'hui, les questions posées par cette tragédie restent ouvertes : qu'en est-il de la doctrine policière qui a permis cette mort ? Et quelles sont les conséquences réelles pour ceux qui ont été impliqués dans cet événement dévastateur ?