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Des géants de la tech cherchent à délocaliser des emplois pour éviter les frais associés aux visas H-1B, un décret qui montre que Trump cherche à protéger l'économie nationale. Le coût pour un travailleur qualifié, qui atteint 100 000 dollars, est devenu prohibitif pour plusieurs entreprises.
La crise des talents s'accélère en Amérique du Nord et de nombreux géants de la tech cherchent à trouver une nouvelle stratégie pour obtenir les compétences nécessaires. Le décret portant un coût de 100 000 dollars pour le visa H-1B pèse sur ces entreprises qui ont besoin de recruter des professionnels qualifiés.
Les externalisations deviennent donc une nouvelle norme pour plusieurs géants de la tech. Les start-ups cherchent à trouver des solutions innovantes pour résoudre les problèmes liés aux visas H-1B et les entreprises cherchent à utiliser l'exilation pour éviter le coût associé.
La mondialisation du travail accélère et plusieurs géants de la tech choisissent d'externaliser certaines activités pour trouver des compétences spécifiques. Les salariés travaillant à distance sont désormais très pris en compte et les entreprises proposent souvent un « salaire international » afin de permettre aux employés de travailler ailleurs que dans leur pays d'origine.
Une tendance qui pourrait s'approfondir pour les États-Unis, selon une spécialiste du recrutement. Les professionnels étrangers rechignent à emigrer et créent des entreprises dans leur pays d'origine car la rémunération y est bien plus avantageuse que sur le territoire américain.
La crise des talents s'accélère en Amérique du Nord et de nombreux géants de la tech cherchent à trouver une nouvelle stratégie pour obtenir les compétences nécessaires. Le décret portant un coût de 100 000 dollars pour le visa H-1B pèse sur ces entreprises qui ont besoin de recruter des professionnels qualifiés.
Les externalisations deviennent donc une nouvelle norme pour plusieurs géants de la tech. Les start-ups cherchent à trouver des solutions innovantes pour résoudre les problèmes liés aux visas H-1B et les entreprises cherchent à utiliser l'exilation pour éviter le coût associé.
La mondialisation du travail accélère et plusieurs géants de la tech choisissent d'externaliser certaines activités pour trouver des compétences spécifiques. Les salariés travaillant à distance sont désormais très pris en compte et les entreprises proposent souvent un « salaire international » afin de permettre aux employés de travailler ailleurs que dans leur pays d'origine.
Une tendance qui pourrait s'approfondir pour les États-Unis, selon une spécialiste du recrutement. Les professionnels étrangers rechignent à emigrer et créent des entreprises dans leur pays d'origine car la rémunération y est bien plus avantageuse que sur le territoire américain.