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Un ex-directeur du FBI est accusé de trahison et demande l'annulation de ses inculpations, selon un recours déposé mardi. James Comey, 64 ans, a plaidé non coupable depuis octobre dernier pour entrave à une commission d'enquête parlementaire et fausses déclarations au Congrès.
Son avocat soutient que les poursuites sont motivées par de la rancune personnelle de Donald Trump. Le président a souvent exprimé son désir de se venger des personnes qu'il perçoit comme des ennemis personnels, notamment après avoir été élu.
Selon l'avocat de Comey, Trump a ordonné au ministère de la Justice de poursuivre son client par "rancune personnelle et parce que le Mr. Comey a fréquemment critiqué le président pour son comportement dans l'exercice de ses fonctions". Le recours affirme également que Trump a forcé le procureur par intérim à démissionner et a donné instruction à la ministre de la Justice de rendre "justice".
Ce n'est pas la première fois que Trump a mis sa volonté de vengeance en avant. En septembre, il avait publiquement fait pression sur son ministre de la Justice, Pam Bondi, pour qu'elle poursuive James Comey. La ministre est ensuite remplacée par Lindsey Halligan, une conseillère de la Maison-Blanche qui a personnellement engagé les poursuites conduisant à l'inculpation du 25 septembre.
Ces poursuites ont pour objectif d'accuser Comey d'avoir menti sous serment en niant, en réponse à une question d'un sénateur, avoir autorisé son adjoint à être cité sous couvert d'anonymat dans les médias sur des enquêtes sensibles conduites par le FBI. La procédure est considérée comme un limogeage brutal contre l'ex-directeur du FBI qui a osé critiquer Trump pour son comportement dans l'exercice de ses fonctions.
Il est à noter que le recours déposé par l'avocat de Comey ne répond pas aux faits qui ont conduit à son inculpation. Le procureur chargé de la poursuite, Lindsey Halligan, a affirmé que les accusations étaient "tenues" et que Comey avait commis des fautes graves.
La situation soulève des doutes sur l'indépendance du système judiciaire américain et sur le rôle des présidents dans la mise en œuvre de la justice.
Son avocat soutient que les poursuites sont motivées par de la rancune personnelle de Donald Trump. Le président a souvent exprimé son désir de se venger des personnes qu'il perçoit comme des ennemis personnels, notamment après avoir été élu.
Selon l'avocat de Comey, Trump a ordonné au ministère de la Justice de poursuivre son client par "rancune personnelle et parce que le Mr. Comey a fréquemment critiqué le président pour son comportement dans l'exercice de ses fonctions". Le recours affirme également que Trump a forcé le procureur par intérim à démissionner et a donné instruction à la ministre de la Justice de rendre "justice".
Ce n'est pas la première fois que Trump a mis sa volonté de vengeance en avant. En septembre, il avait publiquement fait pression sur son ministre de la Justice, Pam Bondi, pour qu'elle poursuive James Comey. La ministre est ensuite remplacée par Lindsey Halligan, une conseillère de la Maison-Blanche qui a personnellement engagé les poursuites conduisant à l'inculpation du 25 septembre.
Ces poursuites ont pour objectif d'accuser Comey d'avoir menti sous serment en niant, en réponse à une question d'un sénateur, avoir autorisé son adjoint à être cité sous couvert d'anonymat dans les médias sur des enquêtes sensibles conduites par le FBI. La procédure est considérée comme un limogeage brutal contre l'ex-directeur du FBI qui a osé critiquer Trump pour son comportement dans l'exercice de ses fonctions.
Il est à noter que le recours déposé par l'avocat de Comey ne répond pas aux faits qui ont conduit à son inculpation. Le procureur chargé de la poursuite, Lindsey Halligan, a affirmé que les accusations étaient "tenues" et que Comey avait commis des fautes graves.
La situation soulève des doutes sur l'indépendance du système judiciaire américain et sur le rôle des présidents dans la mise en œuvre de la justice.