MotifNomade
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Les États-Unis suspendent les demandes d'immigration de 19 pays jugés à haut risque, après une fusillade près de la Maison Blanche.
La administration américaine a décidé de mettre fin aux demandes de "carte verte" et de naturalisation pour ces pays, qui incluent notamment l'Afghanistan, la Birmanie, le Tchad, le Congo, la Guinée équatoriale, l'Erythrée, Haïti, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Cela concerne également les ressortissants de sept autres pays frappés par des restrictions dans la délivrance de visas, tels que le Burundi, Cuba, le Laos, la Sierra Leone, le Togo, le Turkménistan et le Venezuela.
Cette mesure est préoccupante, car elle affecte les personnes qui cherchent à trouver refuge aux États-Unis en raison d' troubles politiques ou de conflits dans leurs pays d'origine. Les demandes de "carte verte" sont suspendues pour ces pays, ce qui signifie que les ressortissants ne peuvent plus remplir le processus de naturalisation et de délivrance des papiers de séjour.
L'administration Trump a pris cette décision après une fusillade près de la Maison Blanche le 26 novembre, qui avait coûté la vie à Sarah Beckstrom, membre de la garde nationale. Depuis, les décisions sur l'octroi de l'asile aux États-Unis sont gelées.
Cette suspension est considérée comme une mesure répressive et discriminatoire envers les personnes issues de pays jugés à haut risque. Elle souleve des questions quant à la sécurité nationale, mais elle pourrait également avoir des conséquences dévastatrices pour les individus qui cherchent à trouver refuge aux États-Unis.
La administration américaine a décidé de mettre fin aux demandes de "carte verte" et de naturalisation pour ces pays, qui incluent notamment l'Afghanistan, la Birmanie, le Tchad, le Congo, la Guinée équatoriale, l'Erythrée, Haïti, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Cela concerne également les ressortissants de sept autres pays frappés par des restrictions dans la délivrance de visas, tels que le Burundi, Cuba, le Laos, la Sierra Leone, le Togo, le Turkménistan et le Venezuela.
Cette mesure est préoccupante, car elle affecte les personnes qui cherchent à trouver refuge aux États-Unis en raison d' troubles politiques ou de conflits dans leurs pays d'origine. Les demandes de "carte verte" sont suspendues pour ces pays, ce qui signifie que les ressortissants ne peuvent plus remplir le processus de naturalisation et de délivrance des papiers de séjour.
L'administration Trump a pris cette décision après une fusillade près de la Maison Blanche le 26 novembre, qui avait coûté la vie à Sarah Beckstrom, membre de la garde nationale. Depuis, les décisions sur l'octroi de l'asile aux États-Unis sont gelées.
Cette suspension est considérée comme une mesure répressive et discriminatoire envers les personnes issues de pays jugés à haut risque. Elle souleve des questions quant à la sécurité nationale, mais elle pourrait également avoir des conséquences dévastatrices pour les individus qui cherchent à trouver refuge aux États-Unis.