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Le président congolais Félix Tshisekedi s'apprête à rencontrer son homologue rwandais Paul Kagame, jeudi 4 décembre prochain, à Washington. Cette rencontre entre les deux chefs d'État était déjà prévue pour longtemps et permettra de lancer l'accord de paix signé en juin dernier.
Cet accord qui a été publié par le médiateur américain comprend notamment le « Concept des opérations », un document opérationnel qui prévoit des opérations pour neutraliser les FDLR, mais aussi la levée des mesures de défenses rwandaises.
Les tensions sont toutefois extrêmement élevées dans l'est du pays, notamment à Walungu et d'Uvira. Les accrochages ont commencé tôt ce mardi matin, avant même le lever du soleil, et les conséquences immédiates sont qu'elles soient des perturbations importantes pour les activités scolaires et socio-économiques.
Des habitants se retrouvent coincés chez eux. Ils parlent de bombes qui tombent et détruisent des habitations.
Le président congolais Félix Tshisekedi a déjà dit lors de son déplacement ce weekend à Belgrade, en Serbie : «pas de mixage, ni de brassage ». Cela veut dire que les miliciens ne pourront pas systématiquement rentrer dans les rangs de l'armée.
Il y aura également d'autres présidents invités à Washington.
Cet accord qui a été publié par le médiateur américain comprend notamment le « Concept des opérations », un document opérationnel qui prévoit des opérations pour neutraliser les FDLR, mais aussi la levée des mesures de défenses rwandaises.
Les tensions sont toutefois extrêmement élevées dans l'est du pays, notamment à Walungu et d'Uvira. Les accrochages ont commencé tôt ce mardi matin, avant même le lever du soleil, et les conséquences immédiates sont qu'elles soient des perturbations importantes pour les activités scolaires et socio-économiques.
Des habitants se retrouvent coincés chez eux. Ils parlent de bombes qui tombent et détruisent des habitations.
Le président congolais Félix Tshisekedi a déjà dit lors de son déplacement ce weekend à Belgrade, en Serbie : «pas de mixage, ni de brassage ». Cela veut dire que les miliciens ne pourront pas systématiquement rentrer dans les rangs de l'armée.
Il y aura également d'autres présidents invités à Washington.