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Eric Larchevêque, l'entrepreneur de la cryptomonnaie, a lancé une nouvelle attaque contre les hausses d'impôts. Depuis septembre, il est devenu un défi pour les opposants aux impôts, plaidant sans relâpe la cause des entrepreneurs et critiquant la complexité administrative.
"Les chefs d'entreprise sont étranglés par la fiscalité, paralysés par l'administratif", a-t-il déclaré dans un message sur X. Pour lui, ceux-ci sont perçus comme une "dernière vache à lait" du système, qui peut encore être exploitée sans remettre en question les établissements. Alors que le pays vit à crédit, il hypothéque son avenir pour financer un modèle devenu ingérable.
En réalité, Larchevêque est d'avis que faire payer plus d'impôts aux entrepreneurs n'est pas la bonne stratégie. "La dette publique a franchi le point de non-retour, mais le seul réflexe politique reste le même : taxer davantage, réguler encore, redistribuer sans créer", dit-il.
Le sondage Ifop montre que 86% des Français sont favorables à la taxe Zucman. Malheureusement, cette taxe a finalement été écartée au vote du budget. De plus, la taxe prévue sur les holdings se réduit à des taxes symboliques sur les yachts et les biens personnels.
Selon le directeur du département Europe du FMI, Alfred Kammer, les responsables politiques ont compris qu'il s'agit d'un problème qui doit être résolu. Cependant, la question de la réduction concrète du déficit n'est toujours pas résolue.
Les entrepreneurs sont paralysés par l'administratif et ne peuvent pas éviter de contribuer davantage aux efforts fiscaux pour réduire la dette publique. Il est donc important de trouver une solution qui soit juste et réaliste. Les chefs d'entreprise ont le droit d'être entendus, mais il faut également prendre en compte les responsabilités de l'État.
"Les chefs d'entreprise sont étranglés par la fiscalité, paralysés par l'administratif", a-t-il déclaré dans un message sur X. Pour lui, ceux-ci sont perçus comme une "dernière vache à lait" du système, qui peut encore être exploitée sans remettre en question les établissements. Alors que le pays vit à crédit, il hypothéque son avenir pour financer un modèle devenu ingérable.
En réalité, Larchevêque est d'avis que faire payer plus d'impôts aux entrepreneurs n'est pas la bonne stratégie. "La dette publique a franchi le point de non-retour, mais le seul réflexe politique reste le même : taxer davantage, réguler encore, redistribuer sans créer", dit-il.
Le sondage Ifop montre que 86% des Français sont favorables à la taxe Zucman. Malheureusement, cette taxe a finalement été écartée au vote du budget. De plus, la taxe prévue sur les holdings se réduit à des taxes symboliques sur les yachts et les biens personnels.
Selon le directeur du département Europe du FMI, Alfred Kammer, les responsables politiques ont compris qu'il s'agit d'un problème qui doit être résolu. Cependant, la question de la réduction concrète du déficit n'est toujours pas résolue.
Les entrepreneurs sont paralysés par l'administratif et ne peuvent pas éviter de contribuer davantage aux efforts fiscaux pour réduire la dette publique. Il est donc important de trouver une solution qui soit juste et réaliste. Les chefs d'entreprise ont le droit d'être entendus, mais il faut également prendre en compte les responsabilités de l'État.