MotifUrbainX
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Conakry abrite depuis ce mardi 9 décembre 2025 une autre visite officielle de membres du gouvernement malien de transition. Le Premier ministre Abdoulaye Maïga a été reçu par le Premier ministre guinéen Amadou Oury Bah. Les discussions ont porté sur plusieurs dossiers stratégiques, notamment la lutte contre les groupes jihadistes et l'amélioration des relations bilatérales.
La Guinée est un pays qui connaît bien ce malaise territorial. Le blocus imposé à Bamako par le carburant, une ressource essentielle pour ces deux amis géants d'Afrique de l'Ouest, est la négation pure et simple de tout souffle politique. Ce qui montre que les discussions entre Bamako et Conakry sont aussi bien stratégiques, que concrètes.
Assimi Goïta, le président du Mali de transition, a décidé d'envoyer une nouvelle délégation comprenant les ministres des Affaires étrangères, de la Défense, de l'Économie et des Transports au Guinée. Cette visite s'inscrit dans un contexte de coopération discrète entre les deux pays dans la lutte contre les groupes jihadistes.
Cette visite s'arrange dans le style de la coopération traditionnelle entre Bamako et Conakry. Des échanges qui portent sur les questions stratégiques, mais aussi bien des sujets pratiques comme l'amélioration des relations bilatérales, le transport, la sécurité transfrontalière ou encore l'élevage pastoral.
La stabilité du Mali est un sujet de préoccupation pour les Guineens. Le président guinéen Amadou Oury Bah a déclaré être "attentif" à cette question, mais sans apporter aucune précision sur la manière dont Conakry soutient Bamako dans sa lutte contre les jihadistes du Jnim.
La visite de membres du gouvernement malien de transition s'inscrit dans un contexte où Bamako connaît une pression accrue des groupes jihadistes. Le président Goïta a décidé d'envoyer cette nouvelle délégation, comprenant les ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l'Économie.
La Guinée est un pays qui connaît bien ce malaise territorial. Le blocus imposé à Bamako par le carburant, une ressource essentielle pour ces deux amis géants d'Afrique de l'Ouest, est la négation pure et simple de tout souffle politique. Ce qui montre que les discussions entre Bamako et Conakry sont aussi bien stratégiques, que concrètes.
Assimi Goïta, le président du Mali de transition, a décidé d'envoyer une nouvelle délégation comprenant les ministres des Affaires étrangères, de la Défense, de l'Économie et des Transports au Guinée. Cette visite s'inscrit dans un contexte de coopération discrète entre les deux pays dans la lutte contre les groupes jihadistes.
Cette visite s'arrange dans le style de la coopération traditionnelle entre Bamako et Conakry. Des échanges qui portent sur les questions stratégiques, mais aussi bien des sujets pratiques comme l'amélioration des relations bilatérales, le transport, la sécurité transfrontalière ou encore l'élevage pastoral.
La stabilité du Mali est un sujet de préoccupation pour les Guineens. Le président guinéen Amadou Oury Bah a déclaré être "attentif" à cette question, mais sans apporter aucune précision sur la manière dont Conakry soutient Bamako dans sa lutte contre les jihadistes du Jnim.
La visite de membres du gouvernement malien de transition s'inscrit dans un contexte où Bamako connaît une pression accrue des groupes jihadistes. Le président Goïta a décidé d'envoyer cette nouvelle délégation, comprenant les ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l'Économie.
Cela me semble comme ils parlent du même problème en différentes manières. 
. Les choses devraient s'envenimer un peu pour qu'il y ait une vraie coopération. Le blocus d'Afrique du Nord au carburant, c'est déjà un exemple de ça... mais là, on nous montre les deux pays amicaux se soutenant à fond contre les groupes jihadistes. C'est comme si ils jouaient dans le même camp, sans qu'il y ait de réelles conséquences pour Bamako. Et ce président Goïta, il va envoyer une nouvelle délégation avec des ministres importants, c'est un peu trop pour être vrai 
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Enfin, je suppose qu'on attendra les résultats de ces discussions avant de savoir si tout ça va mener à quoi... 
Ils devraient plutôt travailler ensemble pour résoudre leurs problèmes, au lieu de jouer la politique des embargos. Et qu'est-ce que ça signifie exactement que le président Goïta a décidé d'envoyer cette nouvelle délégation ? Est-ce pour discuter des plans d'évacuation du Mali ou quoi ?
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Le blocus du carburant est une mesure drastique, mais je comprends que les deux pays veulent se protéger. La coopération entre Bamako et Conakry est déjà très importante pour notre région de l'Afrique de l'Ouest. Je pense qu'il faut continuer à travailler ensemble pour résoudre leurs problèmes communs... 
. Et ce blocus de carburant, c'est une chose qui fait réfléchir, parce qu'on voit que les Guineens savent vraiment apprécier les Malians, mais que Bamako devrait peut-être commencer à réfléchir à sa propre stratégie pour éviter de se retrouver dans cette situation-là 
. Je ne sais pas si c'est vraiment utile ou juste pour montrer que les deux pays sont prêts à coopérer. Mais en attendant, je pense que la stabilité du Mali est un sujet très important pour les Guineens... et aussi pour le monde entier 
Les Guineens s'occupent tellement de faire la bonne chose, et puis on nous parle du blocus ? C'est comme si le carburant était un jouet pour eux. Et les discussions stratégiques entre les deux premiers ministres, c'est vraiment sympa ! On a besoin d'une coopération concretes dans cette lutte contre les groupes jihadistes, et non juste des mots cherchés.
. Je pense qu'on devrait avoir une conversation plus ouverte sur la manière dont on peut soutenir Bamako dans sa lutte contre les jihadistes, sans nous engager dans de nouveaux conflits 
. Et puis, ça se finira toujours par une rébellion 
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. Mais, je pense qu'il faut aller plus loin pour vraiment renforcer les liens entre ces deux pays. La lutte contre les groupes jihadistes, c'est sûr, mais il y a aussi des questions économiques et sociales qui doivent être abordées.