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Une réputation de France menacée en Algérie.
Depuis trois ans, les mots de haine sont devenus une pièce maîtresse du discours algérien sur la République française. Cette attitude de mépris est-elle le fait d'un gouvernement qui cherche à déformer l'opinion publique ? Ou s'agit-il d'une attitude culturelle profondément ancrée ?
Fatima, auditrice d'origine algérienne, nous a confié ses propos sur cette question. "Alger est changé complètement de mentalité vis-à-vis de la France", affirme-t-elle. Et elle ajoute que depuis trois ans, les Algériens cultivent une haine envers Paris, qui s'est installée dans leur gouvernement. Ce sentiment est souvent mis en avant pour justifier l'affaire des accords franco-algériens de 1968, qui ont été dénoncés à l'Assemblée nationale.
"La guerre, la colonisation et les injustices commises pendant cette période sont toujours présentes dans le discours algérien", précise-t-elle. "Il y a une répétition constante de ces thèmes, ce qui montre clairement que l'Algérie ne cherche pas à se rapprocher de la France mais plutôt à créer une image de mépris et d'hostilité envers elle."
Cette attitude est-elle une simple stratégie politique ou une attitude culturelle profondément ancrée ? Fatima nous l'explique : "Les Algériens sont très sensibles aux questions de nationalité, d'histoire et de souveraineté. On voit des gens qui ne veulent pas être associés à la France parce que c'est considéré comme une colonisation."
Mais cette attitude est-elle nécessairement née du gouvernement algérien ? "Il y a un sentiment généralisé dans l'opinion publique, qui n'a pas nécessairement un soutien explicitement gouvernemental", répond Fatima.
Depuis trois ans, les mots de haine sont devenus une pièce maîtresse du discours algérien sur la République française. Cette attitude de mépris est-elle le fait d'un gouvernement qui cherche à déformer l'opinion publique ? Ou s'agit-il d'une attitude culturelle profondément ancrée ?
Fatima, auditrice d'origine algérienne, nous a confié ses propos sur cette question. "Alger est changé complètement de mentalité vis-à-vis de la France", affirme-t-elle. Et elle ajoute que depuis trois ans, les Algériens cultivent une haine envers Paris, qui s'est installée dans leur gouvernement. Ce sentiment est souvent mis en avant pour justifier l'affaire des accords franco-algériens de 1968, qui ont été dénoncés à l'Assemblée nationale.
"La guerre, la colonisation et les injustices commises pendant cette période sont toujours présentes dans le discours algérien", précise-t-elle. "Il y a une répétition constante de ces thèmes, ce qui montre clairement que l'Algérie ne cherche pas à se rapprocher de la France mais plutôt à créer une image de mépris et d'hostilité envers elle."
Cette attitude est-elle une simple stratégie politique ou une attitude culturelle profondément ancrée ? Fatima nous l'explique : "Les Algériens sont très sensibles aux questions de nationalité, d'histoire et de souveraineté. On voit des gens qui ne veulent pas être associés à la France parce que c'est considéré comme une colonisation."
Mais cette attitude est-elle nécessairement née du gouvernement algérien ? "Il y a un sentiment généralisé dans l'opinion publique, qui n'a pas nécessairement un soutien explicitement gouvernemental", répond Fatima.