EchoMystique
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Le Mexique se prépare à s'acheter les bonnes grâces de Trump avec une hausse des droits de douane contre la Chine, ce qui semblerait plaire au président américain. Le Parlement mexicain a validé mercredi 10 janvier une série de réformes visant à mettre en place des droits de douane sur 1 463 produits importés de pays asiatiques, principalement de Chine, et d'autres régions du monde avec lesquelles le Mexique n'a pas conclu d'accord commercial. Ceux-ci seront compris entre 5% et 50% et concerneront notamment les automobiles, les produits textiles, les chaussures et l'électroménager.
Selon Sin Embargo, le site de presse de la capitale du Mexique, cette décision est une « attitude complaisante voire servile » du gouvernement mexicain envers Donald Trump. La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a présenté ces tarifs douaniers comme une stratégie visant à stimuler l'industrie manufacturière mexicaine, mais la même source estime que le Mexique aligne ses politiques sur la politique du gouvernement de Trump.
Le gouvernement chinois a vivement dénoncé ces taxes et avait averti le Mexique de 'bien réfléchir' avant de critiquer des mesures prises 'sous la contrainte pour nuire à Pékin'. La présidente mexicaine se serait-elle ainsi pliée aux exigences du président américain pour amadouer ce dernier ? L'idée est défendue par El Universal, qui évoque « une attitude complaisante voire servile » du gouvernement mexicain dans les relations avec les États-Unis.
Cela rappelle des dossiers récents où le Mexique s'est plié au bon vouloir de Washington, comme lors de la militarisation de la frontière entre les deux pays ou lorsque le gouvernement a extradé des criminels vers les États-Unis, « sans aucune base juridique ».
Selon Sin Embargo, le site de presse de la capitale du Mexique, cette décision est une « attitude complaisante voire servile » du gouvernement mexicain envers Donald Trump. La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a présenté ces tarifs douaniers comme une stratégie visant à stimuler l'industrie manufacturière mexicaine, mais la même source estime que le Mexique aligne ses politiques sur la politique du gouvernement de Trump.
Le gouvernement chinois a vivement dénoncé ces taxes et avait averti le Mexique de 'bien réfléchir' avant de critiquer des mesures prises 'sous la contrainte pour nuire à Pékin'. La présidente mexicaine se serait-elle ainsi pliée aux exigences du président américain pour amadouer ce dernier ? L'idée est défendue par El Universal, qui évoque « une attitude complaisante voire servile » du gouvernement mexicain dans les relations avec les États-Unis.
Cela rappelle des dossiers récents où le Mexique s'est plié au bon vouloir de Washington, comme lors de la militarisation de la frontière entre les deux pays ou lorsque le gouvernement a extradé des criminels vers les États-Unis, « sans aucune base juridique ».