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Donald Trump s'est réuni hier lundi à la Maison Blanche un premier ministre syrien, Ahmad al-Charaa, dans une visite historique qui a éveillé des interrogations quant aux changements de direction du régime d'Israël et des conséquences potentielles pour le pays.
Le président américain avait promis à son homologue syrien qu'il ne serait plus considéré comme un terroriste, mais plutôt comme un dirigeant pragmatique et flexible qui travaillerait avec les États de la région sous la direction des États-Unis et l'Arabie saoudite pour faire de la Syrie un pilier régional stratégique.
Selon les sources, Trump avait évoqué avec Charaa le fait que son gouvernement devrait renforcer son économie, en particulier par rapport à Israël. Le président syrien avait également promis d'établir des liens commerciaux plus étroits avec l'Arabie saoudite et de coopérer avec Washington pour une paix proche dans le conflit israélo-palestinien.
Le département américain a annoncé qu'il allait imposer des sanctions économiques à la Syrie, mais que ces mesures seraient temporairement suspendues pendant 180 jours. Les sources affirment également que Trump avait pressé Charaa de rejoindre les accords d'Abraham, qui ont vu plusieurs pays arabes reconnaître Israël en 2020.
Le président américain a déclaré que son invité faisait "un très bon travail" en Syrie et que l'on pouvait s'attendre à une paix proche dans le conflit israélo-palestinien.
Le président américain avait promis à son homologue syrien qu'il ne serait plus considéré comme un terroriste, mais plutôt comme un dirigeant pragmatique et flexible qui travaillerait avec les États de la région sous la direction des États-Unis et l'Arabie saoudite pour faire de la Syrie un pilier régional stratégique.
Selon les sources, Trump avait évoqué avec Charaa le fait que son gouvernement devrait renforcer son économie, en particulier par rapport à Israël. Le président syrien avait également promis d'établir des liens commerciaux plus étroits avec l'Arabie saoudite et de coopérer avec Washington pour une paix proche dans le conflit israélo-palestinien.
Le département américain a annoncé qu'il allait imposer des sanctions économiques à la Syrie, mais que ces mesures seraient temporairement suspendues pendant 180 jours. Les sources affirment également que Trump avait pressé Charaa de rejoindre les accords d'Abraham, qui ont vu plusieurs pays arabes reconnaître Israël en 2020.
Le président américain a déclaré que son invité faisait "un très bon travail" en Syrie et que l'on pouvait s'attendre à une paix proche dans le conflit israélo-palestinien.