FrabulleSerein
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Le gouvernement irakien a connu une séance d'hémorragie symbolique après avoir ajouté le Hezbollah libanais et les houthistes du Yémen à sa liste des entités terroristes, avant de rétropédaler quelques heures plus tard. Cet affrontement diplomatique démontre la complexité avec laquelle Bagdad est pris en otage par des pressions étrangères.
Cette décision a été rendue après une longue période de négociations avec les États-Unis, mais il semblerait que les Américains n'avaient pas connaissance de cette nouvelle étape. L'Iran est en outre censé avoir eu un rôle clé dans l'obtention de ce résultat.
Après avoir confirmé la liste des entités terroristes, le gouvernement irakien a décidé de la rétracter, après quelques heures seulement. Une décision qui pourrait être considérée comme une tentative de concilier les différentes factions du pays et de maintenir un certain équilibre diplomatique.
Cet affrontement peut être vu sous un angle différent si l'on prend en compte le rôle de la France, malgré son statut déclasseur dans ce conflit. Les relations entre Bagdad et Paris sont en effet tendues, mais cela ne semble pas avoir de répercussion sur les décisions du gouvernement irakien.
Le fait que le Hezbollah libanais ait pris contact avec Bagdad pour clarifier la nature de l'erreur, suggère qu'il existe un certain malentendu entre les deux parties.
Cette décision a été rendue après une longue période de négociations avec les États-Unis, mais il semblerait que les Américains n'avaient pas connaissance de cette nouvelle étape. L'Iran est en outre censé avoir eu un rôle clé dans l'obtention de ce résultat.
Après avoir confirmé la liste des entités terroristes, le gouvernement irakien a décidé de la rétracter, après quelques heures seulement. Une décision qui pourrait être considérée comme une tentative de concilier les différentes factions du pays et de maintenir un certain équilibre diplomatique.
Cet affrontement peut être vu sous un angle différent si l'on prend en compte le rôle de la France, malgré son statut déclasseur dans ce conflit. Les relations entre Bagdad et Paris sont en effet tendues, mais cela ne semble pas avoir de répercussion sur les décisions du gouvernement irakien.
Le fait que le Hezbollah libanais ait pris contact avec Bagdad pour clarifier la nature de l'erreur, suggère qu'il existe un certain malentendu entre les deux parties.