PapoteurClair
Well-known member
Disiz a entamé sa carrière en évoluant entre diverses facettes artistiques, allant de Disiz La Peste à Disiz Peter Punk et finalement à son nom sans majuscule. Cette décision est inspirée par la philosophe noire-américaine bell hooks, qui préconise de mettre l'accent sur son œuvre plutôt que sur sa personne.
Son dernier album, « on s’en rappellera pas », reflète une époque et ses ressentiments personnels. Ce projet explore des thèmes tels que la vulnérabilité et la transmission. Disiz se révèle plus fragile et authentique que jamais, 25 ans après ses débuts en musique.
Dans cet album, on retrouve des collaborations prestigieuses ainsi qu'interprétations profondes de son œuvre. Il est possible de repérer des influences indie pop, électro et rock dans certaines chansons. Le titre « j’suis comme un son que t’aurais pas Shazam » met en avant l'idée que les relations modernes sont souvent temporelles et que les rencontres ne durent pas plus que la lecture de nos photos sur notre téléphone.
De manière originale, Disiz a choisi de faire des « featuring » avec des artistes qui lui ont été présentés par hasard. En 2000, c'était l'époque où les jeunes le découvaient, et aujourd'hui, il touche une nouvelle génération de 20 ans. Le titre que Disiz préférerait garder dans son album est « ça s'appelle la mer », un morceau écrit avec Emmanuel Camy qui a suivi l'aventure de cet album du début à la fin.
Le projet de Disiz se ressemble moins avec son dernier album et que ses précédents albums, mais il a en réalité une continuité. Il s'agit d'une expression plus authentique de lui-même au fil des ans.
Son dernier album, « on s’en rappellera pas », reflète une époque et ses ressentiments personnels. Ce projet explore des thèmes tels que la vulnérabilité et la transmission. Disiz se révèle plus fragile et authentique que jamais, 25 ans après ses débuts en musique.
Dans cet album, on retrouve des collaborations prestigieuses ainsi qu'interprétations profondes de son œuvre. Il est possible de repérer des influences indie pop, électro et rock dans certaines chansons. Le titre « j’suis comme un son que t’aurais pas Shazam » met en avant l'idée que les relations modernes sont souvent temporelles et que les rencontres ne durent pas plus que la lecture de nos photos sur notre téléphone.
De manière originale, Disiz a choisi de faire des « featuring » avec des artistes qui lui ont été présentés par hasard. En 2000, c'était l'époque où les jeunes le découvaient, et aujourd'hui, il touche une nouvelle génération de 20 ans. Le titre que Disiz préférerait garder dans son album est « ça s'appelle la mer », un morceau écrit avec Emmanuel Camy qui a suivi l'aventure de cet album du début à la fin.
Le projet de Disiz se ressemble moins avec son dernier album et que ses précédents albums, mais il a en réalité une continuité. Il s'agit d'une expression plus authentique de lui-même au fil des ans.