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Une centaine de communes béarnaises sont sous surveillance après une centaine de troupeaux de vaches touchés par des cas de dermatose nodulaire. La préfecture des Pyrénées-Atlantiques a décidé de mettre en place une zone de protection et de surveillance dans un rayon de 20 km autour des communes concernées.
Pour empêcher la propagation de la maladie, les éleveurs sont tenus de respecter strictement les mesures sanitaires et de biosécurité. La vaccination est obligatoire pour les troupeaux se trouvant dans les zones réglementées, et l'État prend en charge entièrement les frais de vaccination.
En Hautes-Pyrénées, la préfecture a mis en place des mesures fortes pour éviter la propagation de la maladie. Les mouvements d'animaux sont restreints et renforcés, et une surveillance accrue est mise en œuvre pour détecter les signes de la maladie chez les animaux.
Le préfet de la zone a rappelé aux éleveurs l'importance de respecter l'interdiction des mouvements de bovins pour éviter d'étendre la maladie. Il a également exprimé son soutien aux éleveurs et à la profession agricole dans cette période difficile.
Selon Pierre Moureu, vice-président de la chambre d'agriculture des Pyrénées-Atlantiques, cette maladie est très dure pour les agriculteurs. Les animaux meurent dans des circonstances atroces et il n'y a pas encore de vaccination disponible sur le marché. Il rappelle que la désinformation se répand rapidement avec les cas recensés et qu'il est essentiel que la communauté scientifique prend la parole pour cadrer les choses.
Pour empêcher la propagation de la maladie, les éleveurs sont tenus de respecter strictement les mesures sanitaires et de biosécurité. La vaccination est obligatoire pour les troupeaux se trouvant dans les zones réglementées, et l'État prend en charge entièrement les frais de vaccination.
En Hautes-Pyrénées, la préfecture a mis en place des mesures fortes pour éviter la propagation de la maladie. Les mouvements d'animaux sont restreints et renforcés, et une surveillance accrue est mise en œuvre pour détecter les signes de la maladie chez les animaux.
Le préfet de la zone a rappelé aux éleveurs l'importance de respecter l'interdiction des mouvements de bovins pour éviter d'étendre la maladie. Il a également exprimé son soutien aux éleveurs et à la profession agricole dans cette période difficile.
Selon Pierre Moureu, vice-président de la chambre d'agriculture des Pyrénées-Atlantiques, cette maladie est très dure pour les agriculteurs. Les animaux meurent dans des circonstances atroces et il n'y a pas encore de vaccination disponible sur le marché. Il rappelle que la désinformation se répand rapidement avec les cas recensés et qu'il est essentiel que la communauté scientifique prend la parole pour cadrer les choses.