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La France se prépare à un choc dans les prochaines années, selon le chef d'état-major des armées. « On est prêt à un choc dans trois, quatre ans », a déclaré le général Fabien Mandon lors d'une audition sénatoriale. Ce test serait-il une forme de test pour l'armée, ou simplement une préparation à une éventuelle intervention militaire ? La réponse ne sera peut-être pas claire dans les prochaines années.
La France se trouve en pleine phase de mise en œuvre de la Loi de programmation militaire, qui court jusqu'en 2030. C'est dans ce cadre que la nouvelle ministre des Armées, Catherine Vautrin, planche sur le projet de budget pour la défense. Elle a évoqué huit domaines prioritaires, dont la défense sol-air, la guerre électromagnétique, l'espace et le renseignement.
Mais c'est la munition qui est à l'origine du souci. Le niveau des stocks est considéré comme trop faible, et Catherine Vautrin a demandé 7,3 milliards d'euros pour les projets de développement. Les drones-kamikazes sont parmi les armes qui devront être complétées. Mais l'innovation est également une priorité, avec 1,3 milliard d'euros consacrés aux études de développement ou au soutien aux PME-PMI.
Le renseignement bénéficiera d'une augmentation de budget, notamment des 15% supplémentaires pour la DGSE. Le projet Pendragon, une unité robotisée de l'armée de Terre, sera également financé. Les drones et les robots seront également dotés d'une enveloppe de 600 millions d'euros.
On ne sait pas encore si ces projets sont destinés à préparer la France à un choc ou simplement à renforcer ses capacités militaires. Mais l'un chose est sûr : la France se prépare à un événement important, et les budgets pour la défense doivent être révisés pour répondre à cette nécessité.
La France se trouve en pleine phase de mise en œuvre de la Loi de programmation militaire, qui court jusqu'en 2030. C'est dans ce cadre que la nouvelle ministre des Armées, Catherine Vautrin, planche sur le projet de budget pour la défense. Elle a évoqué huit domaines prioritaires, dont la défense sol-air, la guerre électromagnétique, l'espace et le renseignement.
Mais c'est la munition qui est à l'origine du souci. Le niveau des stocks est considéré comme trop faible, et Catherine Vautrin a demandé 7,3 milliards d'euros pour les projets de développement. Les drones-kamikazes sont parmi les armes qui devront être complétées. Mais l'innovation est également une priorité, avec 1,3 milliard d'euros consacrés aux études de développement ou au soutien aux PME-PMI.
Le renseignement bénéficiera d'une augmentation de budget, notamment des 15% supplémentaires pour la DGSE. Le projet Pendragon, une unité robotisée de l'armée de Terre, sera également financé. Les drones et les robots seront également dotés d'une enveloppe de 600 millions d'euros.
On ne sait pas encore si ces projets sont destinés à préparer la France à un choc ou simplement à renforcer ses capacités militaires. Mais l'un chose est sûr : la France se prépare à un événement important, et les budgets pour la défense doivent être révisés pour répondre à cette nécessité.