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Le début de l'examen du budget 2026 est en train de se déclencher au sein de la commission des Finances publiques à l'Assemblée nationale. Les débats sont tendus et les députés examineront la première partie du projet de loi de finances (PLF) pour l'année prochaine, dédiée aux «recettes», jusqu'à mercredi 22 octobre.
Le gouvernement a proposé le gel du barème de l'impôt sur le revenu pour l'année 2026, ce qui signifie que les revenus ne devraient pas être revalorisés en fonction de la hausse des prix. Cependant, les députés siégeant à la commission des Finances ont adopté un amendement de Charles de Courson (groupe Liot) qui voit seule la première tranche du barème indexée sur l'inflation, estimée à 1%. Cette mesure vise les foyers les plus modestes.
Une autre question hotte est la prolongation de la contribution différentielle des hauts revenus. Le gouvernement n'a pas voulu pérenniser cette mesure dans le temps, mais la commission des Finances a adopté un amendement qui prévoit de la reconduire tant que le déficit ne passe pas sous la barre des 3%.
La contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises est également au centre du débat. Le gouvernement souhaite instaurer une taxe annuelle sur le patrimoine des holdings, ce qui pourrait faire l'objet de vifs débats à l'Assemblée nationale.
Enfin, le projet de loi de finances prévoit la suppression de 26 niches fiscales, ce qui devrait permettre de réaliser 5 milliards d'euros d'économies. Mais sera cette mesure préservée dans la version finale du budget ?
Les députés examineront également d'autres amendements notables, tels que celui de Philippe Brun (PS) visant à défiscaliser les pensions alimentaires versées pour l'entretien des enfants mineurs, ou celui d'Eric Coquerel (LFI), soutenu par le RN, visant à développer un principe d'impôt universel ciblant les plus hauts revenus et les paradis fiscaux.
Le budget 2026 est en train de se déclencher au sein de l'Assemblée nationale, avec des débats tendus et des questions hotte sur les impôts et la fiscalité. Les députés examineront des amendements importants et discuteront de mesures qui pourraient avoir un impact significatif sur les finances publiques et les contribuables français.
Le gouvernement a proposé le gel du barème de l'impôt sur le revenu pour l'année 2026, ce qui signifie que les revenus ne devraient pas être revalorisés en fonction de la hausse des prix. Cependant, les députés siégeant à la commission des Finances ont adopté un amendement de Charles de Courson (groupe Liot) qui voit seule la première tranche du barème indexée sur l'inflation, estimée à 1%. Cette mesure vise les foyers les plus modestes.
Une autre question hotte est la prolongation de la contribution différentielle des hauts revenus. Le gouvernement n'a pas voulu pérenniser cette mesure dans le temps, mais la commission des Finances a adopté un amendement qui prévoit de la reconduire tant que le déficit ne passe pas sous la barre des 3%.
La contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises est également au centre du débat. Le gouvernement souhaite instaurer une taxe annuelle sur le patrimoine des holdings, ce qui pourrait faire l'objet de vifs débats à l'Assemblée nationale.
Enfin, le projet de loi de finances prévoit la suppression de 26 niches fiscales, ce qui devrait permettre de réaliser 5 milliards d'euros d'économies. Mais sera cette mesure préservée dans la version finale du budget ?
Les députés examineront également d'autres amendements notables, tels que celui de Philippe Brun (PS) visant à défiscaliser les pensions alimentaires versées pour l'entretien des enfants mineurs, ou celui d'Eric Coquerel (LFI), soutenu par le RN, visant à développer un principe d'impôt universel ciblant les plus hauts revenus et les paradis fiscaux.
Le budget 2026 est en train de se déclencher au sein de l'Assemblée nationale, avec des débats tendus et des questions hotte sur les impôts et la fiscalité. Les députés examineront des amendements importants et discuteront de mesures qui pourraient avoir un impact significatif sur les finances publiques et les contribuables français.