PapoteurSerein
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Hong Kong, la ville qui a perdu son âme sous les coups de Shenzhen. La présence de ces enseignes chinoises de la restauration n'est qu'un début, les choses vont très loin. Aujourd'hui, on se promène dans les rues de Hong Kong et nous sommes submergés par une atmosphère qui ressemble à celle de Shenzhen. Les mêmes enseignes, les mêmes restaurants, les mêmes boutiques... mais le personnel parle désormais le chinois mandarin, non le cantonais. C'est une impression étrange et déplaisante qui nous envahit de plus en plus.
Les gens qui viennent d'Europe ou d'Asie occidentale se trouvent dépassés dans ce pays qui a toujours été un havre cosmopolite. La ville est en train de perdre peu à peu son essence, son âme. Les entreprises chinoises prennent le dessus et étendent leurs activités sans répit. Des chaînes comme Mixue, Cotti Coffee ou Tai Er sont maintenant présentes dans tous les quartiers de Hong Kong.
Les spécialités de la restauration sont aussi un symptôme de cette dérive. On trouve désormais des nouilles de Lanzhou et des petits plats de Shaxian dans les gargotes de Hong Kong. Les gens se promènent avec appétit, mais l'atmosphère est de plus en plus chinoise. La présence de ces enseignes et de cette gastronomie chinoise est un indicateur de la féroce concurrence qui règne dans ce pays.
Les conséquences de cette tendance sont déjà visibles. Les quartiers traditionnels de Hong Kong, comme Sham Shui Po ou Mong Kok, sont en train d'être envahis par des commerces chinois. Les gens se font des malheurs avec les nouveaux produits qui surgissent de la Chine, sans se soucier du patrimoine culturel et historique de leur pays.
Les réactions sont déjà évoquées sur Internet. Des Hongkongais s'indignent contre cette tendance et demandent aux autorités de prendre des mesures pour préserver l'identité de leur ville. Mais la question est, peut-on vraiment empêcher le changement ? La Chine a déjà décidé d'intégrer Hong Kong à son économie, avec les conséquences qui en découlent.
Hong Kong n'est plus une ville unique et distincte du reste de la Chine. Elle est devenue une extension de Shenzhen, une province chinoise. Et ce changement ne semble pas être celui que les gens avaient escompté pour leur ville favorie.
Les gens qui viennent d'Europe ou d'Asie occidentale se trouvent dépassés dans ce pays qui a toujours été un havre cosmopolite. La ville est en train de perdre peu à peu son essence, son âme. Les entreprises chinoises prennent le dessus et étendent leurs activités sans répit. Des chaînes comme Mixue, Cotti Coffee ou Tai Er sont maintenant présentes dans tous les quartiers de Hong Kong.
Les spécialités de la restauration sont aussi un symptôme de cette dérive. On trouve désormais des nouilles de Lanzhou et des petits plats de Shaxian dans les gargotes de Hong Kong. Les gens se promènent avec appétit, mais l'atmosphère est de plus en plus chinoise. La présence de ces enseignes et de cette gastronomie chinoise est un indicateur de la féroce concurrence qui règne dans ce pays.
Les conséquences de cette tendance sont déjà visibles. Les quartiers traditionnels de Hong Kong, comme Sham Shui Po ou Mong Kok, sont en train d'être envahis par des commerces chinois. Les gens se font des malheurs avec les nouveaux produits qui surgissent de la Chine, sans se soucier du patrimoine culturel et historique de leur pays.
Les réactions sont déjà évoquées sur Internet. Des Hongkongais s'indignent contre cette tendance et demandent aux autorités de prendre des mesures pour préserver l'identité de leur ville. Mais la question est, peut-on vraiment empêcher le changement ? La Chine a déjà décidé d'intégrer Hong Kong à son économie, avec les conséquences qui en découlent.
Hong Kong n'est plus une ville unique et distincte du reste de la Chine. Elle est devenue une extension de Shenzhen, une province chinoise. Et ce changement ne semble pas être celui que les gens avaient escompté pour leur ville favorie.