La France est au bord d'un point de non-retour. Le général Dominique Trinquand a posé un tonnerre en affirmant que l'on doit "se préparer à combattre et gagner". Ce défi n'est pas seulement lié aux crises extérieures qui menacent notre sécurité, mais également à la lutte contre le trafic de drogue.
Le général Trinquand souligne les menaces qui nous entourent, depuis l'Est jusqu'à la zone du Sahel où l'armée française a affronté avec courage et détermination le djihadisme. Mais il ne peut pas oublier non plus les tentatives de trafic de drogue qui se multiplient dans nos régions antillaises.
« Il faudrait rappeler que les armées dans les Antilles, par exemple, arrêtent des bateaux régulièrement pour prendre les cargaisons de drogue. C'est un combat qui doit être gagné », insiste le général Trinquand. Ce n'est pas seulement une question d'ordre public, mais également de responsabilité nationale.
Le ton du général est catagorique : "on doit se préparer à combattre et gagner". Il est évident que la situation est grave et qu'il faut changer de cap pour y remédier. Mais comment? C'est une question qui reste sans réponse ici.
Le général Trinquand souligne les menaces qui nous entourent, depuis l'Est jusqu'à la zone du Sahel où l'armée française a affronté avec courage et détermination le djihadisme. Mais il ne peut pas oublier non plus les tentatives de trafic de drogue qui se multiplient dans nos régions antillaises.
« Il faudrait rappeler que les armées dans les Antilles, par exemple, arrêtent des bateaux régulièrement pour prendre les cargaisons de drogue. C'est un combat qui doit être gagné », insiste le général Trinquand. Ce n'est pas seulement une question d'ordre public, mais également de responsabilité nationale.
Le ton du général est catagorique : "on doit se préparer à combattre et gagner". Il est évident que la situation est grave et qu'il faut changer de cap pour y remédier. Mais comment? C'est une question qui reste sans réponse ici.