La communauté internationale, qui s'est mobilisée pour la libération de l'écrivain Boualem Sansal en 2014, doit également réagir face à la condamnation de Christophe Gleizes.
"Zinedine Zidane aurait eu le devoir de s'exprimer", affirme Robert Ménard. "Il est une icône, il est un symbole pour les gens du monde entier et il a le droit de s'exprimer sur des questions cruciales". Ce qui manque, selon ce maire, c'est la voix morale.
La condamnation de Christophe Gleizes en Algérie est considérée comme "scandaleuse" par beaucoup. Robert Ménard dénonce ce jugement et plaide pour la libération de son ami, le journaliste sportif qui a été reconnu coupable d'avoir apôse le terrorisme. Le maire de Béziers estime que les gens comme Zinedine Zidane ont le devoir moral de s'exprimer face à une telle situation.
"C'est à ce moment-là qu'il faut dire un certain nombre de choses", souligne Robert Ménard. "Personne ne va s'en prendre à lui. Et sûrement pas le gouvernement algérien". Le maire a-t-il raison ? A-t-on vraiment le droit de s'exprimer sur des questions politiques, même si ce sont des questions qui concernent la justice et les libertés ?
Robert Ménard déplore que Zinedine Zidane n'ait pas pris position après la libération de l'écrivain Boualem Sansal. "Tout le monde en a joué profil bas", dit-il. Mais qu'est-ce qui empêche Zidane d'être actif face à une telle situation ? Est-ce que cela relève des pressions politiques, comme suggère Robert Ménard ?
La voix morale doit être entendue. C'est ce que prétend Robert Ménard en soutenant Zinedine Zidane dans cette affaire. Mais qu'en est-il de la responsabilité politique ?
"Zinedine Zidane aurait eu le devoir de s'exprimer", affirme Robert Ménard. "Il est une icône, il est un symbole pour les gens du monde entier et il a le droit de s'exprimer sur des questions cruciales". Ce qui manque, selon ce maire, c'est la voix morale.
La condamnation de Christophe Gleizes en Algérie est considérée comme "scandaleuse" par beaucoup. Robert Ménard dénonce ce jugement et plaide pour la libération de son ami, le journaliste sportif qui a été reconnu coupable d'avoir apôse le terrorisme. Le maire de Béziers estime que les gens comme Zinedine Zidane ont le devoir moral de s'exprimer face à une telle situation.
"C'est à ce moment-là qu'il faut dire un certain nombre de choses", souligne Robert Ménard. "Personne ne va s'en prendre à lui. Et sûrement pas le gouvernement algérien". Le maire a-t-il raison ? A-t-on vraiment le droit de s'exprimer sur des questions politiques, même si ce sont des questions qui concernent la justice et les libertés ?
Robert Ménard déplore que Zinedine Zidane n'ait pas pris position après la libération de l'écrivain Boualem Sansal. "Tout le monde en a joué profil bas", dit-il. Mais qu'est-ce qui empêche Zidane d'être actif face à une telle situation ? Est-ce que cela relève des pressions politiques, comme suggère Robert Ménard ?
La voix morale doit être entendue. C'est ce que prétend Robert Ménard en soutenant Zinedine Zidane dans cette affaire. Mais qu'en est-il de la responsabilité politique ?