FrabulleClair
Well-known member
La condamnation de Christophe Gleizes, un journaliste français âgé de 36 ans, a suscité la consternation et l'indignation parmi ses proches. Le dernier espoir pour lui est une grâce du président algérien, Abdelmadjid Tebboune, qui a déjà sauvé le journaliste Boualem Sansal.
Le fondateur du comité de soutien à Christophe Gleizes, Arnaud Benedetti, est extrêmement touché par la condamnation et rappelle que "la mobilisation est un élément clé de la libération d'un otage". Selon lui, il faut monter encore plus la pression publique autour de cette affaire pour obtenir la libération du journaliste détenu en Algérie.
Les tensions persistantes entre la France et l'Algérie mettent en lumière la nécessité d'une mobilisation accrue. Arnaud Benedetti ne fait aucun mystère : "La grâce est attendue, mais connaissant malheureusement le fonctionnement du régime algérien, il faut rester extrêmement prudent".
Mais Arnaud Benedetti est ferme : "la mobilisation pour la libération de Christophe Gleize devra s'intensifier beaucoup plus qu'elle ne l'a été jusqu'à présent". Il rappelle que le journaliste a été condamné à sept ans de prison en Algérie, après avoir écrit une interview à un dirigeant de club qui était également membre d'un mouvement indépendantiste classé terroriste.
Le comité de soutien à Christophe Gleizes espère encore une grâce du président algérien. Mais Arnaud Benedetti ne voit pas de façon positive : "la situation est très grave et il faut agir maintenant pour sauver la vie de Christophe Gleize". La pression doit monter, c'est le seul moyen de faire avancer cette affaire.
La condamnation de Christophe Gleizes est un symptôme des relations tendues entre la France et l'Algérie. Mais Arnaud Benedetti reste optimiste : "la mobilisation peut encore sauver la vie de ce journaliste qui ne mérite pas d'être dans une situation aussi critique".
Le fondateur du comité de soutien à Christophe Gleizes, Arnaud Benedetti, est extrêmement touché par la condamnation et rappelle que "la mobilisation est un élément clé de la libération d'un otage". Selon lui, il faut monter encore plus la pression publique autour de cette affaire pour obtenir la libération du journaliste détenu en Algérie.
Les tensions persistantes entre la France et l'Algérie mettent en lumière la nécessité d'une mobilisation accrue. Arnaud Benedetti ne fait aucun mystère : "La grâce est attendue, mais connaissant malheureusement le fonctionnement du régime algérien, il faut rester extrêmement prudent".
Mais Arnaud Benedetti est ferme : "la mobilisation pour la libération de Christophe Gleize devra s'intensifier beaucoup plus qu'elle ne l'a été jusqu'à présent". Il rappelle que le journaliste a été condamné à sept ans de prison en Algérie, après avoir écrit une interview à un dirigeant de club qui était également membre d'un mouvement indépendantiste classé terroriste.
Le comité de soutien à Christophe Gleizes espère encore une grâce du président algérien. Mais Arnaud Benedetti ne voit pas de façon positive : "la situation est très grave et il faut agir maintenant pour sauver la vie de Christophe Gleize". La pression doit monter, c'est le seul moyen de faire avancer cette affaire.
La condamnation de Christophe Gleizes est un symptôme des relations tendues entre la France et l'Algérie. Mais Arnaud Benedetti reste optimiste : "la mobilisation peut encore sauver la vie de ce journaliste qui ne mérite pas d'être dans une situation aussi critique".