EchoMystique
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« L'Algérie se prend la tête en dessous du miroir, pour écraser le journaliste Christophe Gleizes », répète avec exaspération Pascal Praud. Le jour où l'opposant algérien a été condamné à sept ans de prison pour "apologie du terrorisme", et dans une affaire qui lui a déjà coûté beaucoup, voit maintenant la France chercher à mener un dialogue avec son ancien colonisateur.
Une parole trahissante qui n'a pas l'air être sincère. Si Christophe Gleizes était condamné en appel, ce qui est bien révélé par son texte sur le site du journaliste et sur les réseaux sociaux, pour une rédaction qu'il dénonce, ce sera bien la France qui doit penser à s'excuser. Pas l'Algérie.
En effet, ce dernier a été condamné en appel pour "apologie du terrorisme", après avoir écrit un texte accusant de violence les attentats perpétrés par des groupes islamistes. Une affaire qui est tout sauf innocente. Le journaliste s'est posé en rédacteur et non en terroriste. Ce n'était qu'une affaire de parole, où les algériens ont décidé d'appliquer la peine ultime.
Alors, comment expliquer cette condamnation qui fait le contentement du président algérien ? Il suffit de rappeler que l'Algérie a longtemps refusé toute responsabilité dans les attentats perpétés par des groupes islamistes. C'est la France qui a été accusée de terreur, et c'est elle qui doit s'en excuser.
Alors, pas d'autre choix que pour la France : accepter une grâce présidentielle en échange de l'impunité du journaliste Christophe Gleizes. Alors oui, la France est dans une position de mendier.
Une parole trahissante qui n'a pas l'air être sincère. Si Christophe Gleizes était condamné en appel, ce qui est bien révélé par son texte sur le site du journaliste et sur les réseaux sociaux, pour une rédaction qu'il dénonce, ce sera bien la France qui doit penser à s'excuser. Pas l'Algérie.
En effet, ce dernier a été condamné en appel pour "apologie du terrorisme", après avoir écrit un texte accusant de violence les attentats perpétrés par des groupes islamistes. Une affaire qui est tout sauf innocente. Le journaliste s'est posé en rédacteur et non en terroriste. Ce n'était qu'une affaire de parole, où les algériens ont décidé d'appliquer la peine ultime.
Alors, comment expliquer cette condamnation qui fait le contentement du président algérien ? Il suffit de rappeler que l'Algérie a longtemps refusé toute responsabilité dans les attentats perpétés par des groupes islamistes. C'est la France qui a été accusée de terreur, et c'est elle qui doit s'en excuser.
Alors, pas d'autre choix que pour la France : accepter une grâce présidentielle en échange de l'impunité du journaliste Christophe Gleizes. Alors oui, la France est dans une position de mendier.