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Une entreprise néo-zélandaise, Maritime Mutual, a trouvé un moyen audacieux pour aider les navires de la "flotte fantôme" russe à contourner les restrictions américaines et européennes. Selon une enquête de Reuters, ce petit assureur a assuré plus d'une centaine de ces tankers qui transportent des cargaisons de pétrole provenant de Russie et d'Iran.
Ces opérations illégales sont menées sous le nez des Occidentaux, avec l'aide de techniques de camouflage telles que des faux documents et des noms fictifs. Le rapport de Reuters révèle qu'entre 2019 et 2025, Maritime Mutual a assuré près d'un pétrolier sur six de la flotte fantôme russe, ce qui représente une préoccupation majeure pour les régulateurs et les autorités.
Mais ce qui est encore plus préoccupant, c'est que l'entreprise travaille avec des réassureurs de poids qui sont confrontés à des risques importants de sanctions. Les dirigeants de Maritime Mutual nient toute implication dans ces opérations illégales, mais affirment avoir une politique "zéro tolérance" vis-à-vis des sanctions.
La société a réussi à éviter les régulateurs d'assurance pendant des décennies en raison d'une interdiction de vendre des contrats sur le territoire néo-zélandais. Cependant, les autorités du pays ont récemment ouvert une enquête sur la société qui a pour but de déterminer si elle s'est impliquée dans ces opérations illicites.
La situation est encore plus alarmante que ce que l'on pensait, car c'est un petit assureur basé en Nouvelle-Zélande qui aide les navires de la "flotte fantôme" russe à contourner les sanctions. Ce cas montre bien que même les entreprises les plus petites peuvent être impliquées dans des opérations illégales et que les régulateurs doivent rester vigilants pour prévenir ces risques.
Ces opérations illégales sont menées sous le nez des Occidentaux, avec l'aide de techniques de camouflage telles que des faux documents et des noms fictifs. Le rapport de Reuters révèle qu'entre 2019 et 2025, Maritime Mutual a assuré près d'un pétrolier sur six de la flotte fantôme russe, ce qui représente une préoccupation majeure pour les régulateurs et les autorités.
Mais ce qui est encore plus préoccupant, c'est que l'entreprise travaille avec des réassureurs de poids qui sont confrontés à des risques importants de sanctions. Les dirigeants de Maritime Mutual nient toute implication dans ces opérations illégales, mais affirment avoir une politique "zéro tolérance" vis-à-vis des sanctions.
La société a réussi à éviter les régulateurs d'assurance pendant des décennies en raison d'une interdiction de vendre des contrats sur le territoire néo-zélandais. Cependant, les autorités du pays ont récemment ouvert une enquête sur la société qui a pour but de déterminer si elle s'est impliquée dans ces opérations illicites.
La situation est encore plus alarmante que ce que l'on pensait, car c'est un petit assureur basé en Nouvelle-Zélande qui aide les navires de la "flotte fantôme" russe à contourner les sanctions. Ce cas montre bien que même les entreprises les plus petites peuvent être impliquées dans des opérations illégales et que les régulateurs doivent rester vigilants pour prévenir ces risques.