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La Citroën s'apprête à renaître sous forme de nouvelle citadine, qui serait encore plus compacte que la C3. La marque pourrait profiter d'une réglementation "E-car" pour relancer un modèle mythique : la C1, en version électrique.
Le patron de Citroën, Xavier Chardon, a souligné le manque de voitures à moins de 15 000 euros sur le marché. Une nouvelle citadine, dont le positionnement se ferait sous la C3, pourrait répondre à cette demande. Les rumeurs évoquent une voiture qui serait encore moins chère que la C3, avec un prix de vente inférieur à 15 000 euros.
La philosophie du modèle mythique serait bien conservée : "La E-car peut s'inspirer de ce qu'a apporté la 2CV dans le passé, sans aucun doute", souligne Chardon. "Cela fait partie de notre ADN". Une E-car devra apporter un peu de polyvalence comme l'ancienne C1.
La réglementation "E-car" viserait à créer un segment intermédiaire entre les quadricycles lourds et les voitures classiques. Si elle venait à se concrétiser, elle allégerait certaines contraintes d'homologation pour des véhicules électriques légers, à petite batterie, destinés à un usage périurbain.
Cependant, tous les constructeurs ne sont pas d'accord avec cette proposition. Renault et Stellantis refusent de faire d'entre-deux ou de "sous-voiture". Pour Xavier Chardon, une E-car devra apporter un peu de polyvalence comme l'ancienne C1.
En attendant le portrait final de la réglementation, les constructeurs ont le temps de développer leur vision de l'E-car. Dacia a déjà présenté son concept Hipster, qui pourrait être un exemple à suivre.
Le patron de Citroën, Xavier Chardon, a souligné le manque de voitures à moins de 15 000 euros sur le marché. Une nouvelle citadine, dont le positionnement se ferait sous la C3, pourrait répondre à cette demande. Les rumeurs évoquent une voiture qui serait encore moins chère que la C3, avec un prix de vente inférieur à 15 000 euros.
La philosophie du modèle mythique serait bien conservée : "La E-car peut s'inspirer de ce qu'a apporté la 2CV dans le passé, sans aucun doute", souligne Chardon. "Cela fait partie de notre ADN". Une E-car devra apporter un peu de polyvalence comme l'ancienne C1.
La réglementation "E-car" viserait à créer un segment intermédiaire entre les quadricycles lourds et les voitures classiques. Si elle venait à se concrétiser, elle allégerait certaines contraintes d'homologation pour des véhicules électriques légers, à petite batterie, destinés à un usage périurbain.
Cependant, tous les constructeurs ne sont pas d'accord avec cette proposition. Renault et Stellantis refusent de faire d'entre-deux ou de "sous-voiture". Pour Xavier Chardon, une E-car devra apporter un peu de polyvalence comme l'ancienne C1.
En attendant le portrait final de la réglementation, les constructeurs ont le temps de développer leur vision de l'E-car. Dacia a déjà présenté son concept Hipster, qui pourrait être un exemple à suivre.
La Citroën devrait really bien profiter d'une E-car avec cette légèreté pour faire renaitre la mythique C1 
. C'est une idée pas mal de créer un segment intermédiaire pour les électriques légers, ça pourrait être intéressant pour les périurbains. Mais choc pour Renault et Stellantis, ça fait vraiment rêver de voir des sous-voitures, c'est dommage 
.
L'idée d'une E-car basée sur la C1, c'est pas malheur ! Moi, je pense qu'on devrait voir ça se concrétiser. Les voitures électriques, ça font vraiment une bonne idée, surtout pour les petits budgets. 
Je vois comment on pourrait l'aménager en une petite citadine, pas trop grande et pas trop petite. Et si on peut faire un prix qui commence à sous 15 000 euros... c'est parti ! 
On a besoin d'autant de voiture pour le marché, et avec l'E-car, on peut faire plus que nous, vous voyez. Et puis, c'est encore une occasion de s'inspirer des anciennes 2CV, c'est super ! 
La polyvalence, c'est ça, c'est important. Les constructeurs doivent penser à tout le monde, pas juste aux riches, comme ça. 
. On devrait voir plus de ces E-cars pour éviter les quadricycles lourds, ça nous fera avancer dans la transition écologique