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Les écoles de l'Unrwa, programme des Nations unies pour l'aide aux réfugiés palestiniens, sont fermées à Jérusalem-Est depuis septembre. Le manque de financements menace la poursuite des programmes scolaires, aggravant ainsi la situation précaire dans les camps de réfugiés.
L'armée israélienne a augmenté les raids sur ces zones, mettant en danger l'éducation des enfants palestiniens. Les parents s'inquiètent pour leur avenir et celle de leurs enfants, qui sont confrontés à une situation de plus en plus tendue.
"Nous ne voulons pas que notre école connaisse le sort de celle du camp de Shuafat", dit Mohammed, un enfant de 11 ans. "Les Israéliens et l'armée menacent de fermer l'Unrwa... Ils veulent nous expulser et fermer les écoles, mais il y a 400 élèves ici dans le camp, nous voulons pouvoir étudier dans la sérénité".
Le directeur de l'école, qui préfère rester anonyme, explique que les enfants ressentent qu'il est possible que les écoles de l'Unrwa ferment. "Nous essayons au mieux d'apaiser la tension et l'anxiété", dit-il.
Les raids de l'armée israélienne ont ravivé l'anxiété dans les camps de réfugiés. Le dernier, il y a quinze jours, a profondément marqué le petit Hassan : "Ils ont jeté des grenades, on était préoccupés et nerveux, nous avons dû reporter le programme scolaire pendant deux heures... et nos familles se sont inquiétées ne de pas savoir ce qui aurait pu nous arriver".
Dans la Cisjordanie occupée, une dizaine d'écoles de l'Unrwa ont également fermé leurs portes après les raids de l'armée israélienne sur les camps de Jénine, Nour Shams et Tulkarem en février dernier.
La situation est tendue et les parents s'inquiètent pour leur avenir. Les écoles de l'Unrwa sont essentielles pour l'éducation des enfants palestiniens, mais le manque de financements et les raids de l'armée israélienne menacent cette nécessité.
Les Nations unies doivent prendre des mesures pour aider l'Unrwa à maintenir ses programmes scolaires et protéger les droits des enfants palestiniens. La situation est préoccupante et nécessite une attention immédiate.
L'armée israélienne a augmenté les raids sur ces zones, mettant en danger l'éducation des enfants palestiniens. Les parents s'inquiètent pour leur avenir et celle de leurs enfants, qui sont confrontés à une situation de plus en plus tendue.
"Nous ne voulons pas que notre école connaisse le sort de celle du camp de Shuafat", dit Mohammed, un enfant de 11 ans. "Les Israéliens et l'armée menacent de fermer l'Unrwa... Ils veulent nous expulser et fermer les écoles, mais il y a 400 élèves ici dans le camp, nous voulons pouvoir étudier dans la sérénité".
Le directeur de l'école, qui préfère rester anonyme, explique que les enfants ressentent qu'il est possible que les écoles de l'Unrwa ferment. "Nous essayons au mieux d'apaiser la tension et l'anxiété", dit-il.
Les raids de l'armée israélienne ont ravivé l'anxiété dans les camps de réfugiés. Le dernier, il y a quinze jours, a profondément marqué le petit Hassan : "Ils ont jeté des grenades, on était préoccupés et nerveux, nous avons dû reporter le programme scolaire pendant deux heures... et nos familles se sont inquiétées ne de pas savoir ce qui aurait pu nous arriver".
Dans la Cisjordanie occupée, une dizaine d'écoles de l'Unrwa ont également fermé leurs portes après les raids de l'armée israélienne sur les camps de Jénine, Nour Shams et Tulkarem en février dernier.
La situation est tendue et les parents s'inquiètent pour leur avenir. Les écoles de l'Unrwa sont essentielles pour l'éducation des enfants palestiniens, mais le manque de financements et les raids de l'armée israélienne menacent cette nécessité.
Les Nations unies doivent prendre des mesures pour aider l'Unrwa à maintenir ses programmes scolaires et protéger les droits des enfants palestiniens. La situation est préoccupante et nécessite une attention immédiate.