La ville de Marseille, connue pour ses émeutes et ses violences, connaît un nouveau chapitre de la terreur du narcotrafic. Après l'assassinat de Mehdi Kessaci, le frère d'Amine Kessaci, militant écologiste engagé contre le trafic de stupéfiants, une onde de peur s'est installée parmi les militants anti-drogue.
Les affrontements et les meurtres se multiplient dans la cité phocéenne, ce qui conduit à un effondrement des effectifs. Les militants, qui avaient lutté pendant des années contre le narcotrafic, ont pris la décision de se taire pour ne pas devenir une cible.
« Aujourd'hui, j'ai pris la décision de ne plus intervenir sur la question du narcotrafic pour ne pas devenir une cible », déclare Sonia, militante engagée depuis plusieurs années dans ce combat. La peur est réelle et elle a choisi de suspendre tout projet social à travers la réinsertion et la lutte contre le narcotrafic.
Ces derniers jours ont vu l'effondrement des effectifs de militants anti-drogue, qui n'ont plus le choix que de se taire face à ce fléau. Les familles de victimes, quant à elles, craignent pour leur vie et leurs proches.
« Ces monstres, ils n'ont pas de limite », confie la mère d'une victime collatérale en lien avec le narcobanditisme. La situation se répète, 13 homicides en lien avec le trafic de stupéfiants ont été commis à Marseille depuis le début de l'année.
Le président Emmanuel Macron s'est déjà prononcé sur cette question et a convoqué une réunion à l'Élysée pour aborder la situation à Marseille. Mais la terreur du narcotrafic persiste, et les militants anti-drogue sont nombreux à craigner pour leur vie.
La question est de savoir si le gouvernement sera capable d'intervenir efficacement contre ce fléau, ou si les militants continueront à se taire face à cette terreur qui semblait être sous contrôle.
Les affrontements et les meurtres se multiplient dans la cité phocéenne, ce qui conduit à un effondrement des effectifs. Les militants, qui avaient lutté pendant des années contre le narcotrafic, ont pris la décision de se taire pour ne pas devenir une cible.
« Aujourd'hui, j'ai pris la décision de ne plus intervenir sur la question du narcotrafic pour ne pas devenir une cible », déclare Sonia, militante engagée depuis plusieurs années dans ce combat. La peur est réelle et elle a choisi de suspendre tout projet social à travers la réinsertion et la lutte contre le narcotrafic.
Ces derniers jours ont vu l'effondrement des effectifs de militants anti-drogue, qui n'ont plus le choix que de se taire face à ce fléau. Les familles de victimes, quant à elles, craignent pour leur vie et leurs proches.
« Ces monstres, ils n'ont pas de limite », confie la mère d'une victime collatérale en lien avec le narcobanditisme. La situation se répète, 13 homicides en lien avec le trafic de stupéfiants ont été commis à Marseille depuis le début de l'année.
Le président Emmanuel Macron s'est déjà prononcé sur cette question et a convoqué une réunion à l'Élysée pour aborder la situation à Marseille. Mais la terreur du narcotrafic persiste, et les militants anti-drogue sont nombreux à craigner pour leur vie.
La question est de savoir si le gouvernement sera capable d'intervenir efficacement contre ce fléau, ou si les militants continueront à se taire face à cette terreur qui semblait être sous contrôle.