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Les relations "magnifiques" entre Rabat et Madrid cachent une diplomatie transactionnelle.
En décembre dernier, les deux pays ont mis en place un sommet diplomatique à Madrid, où les Premiers ministres Pedro Sánchez et Aziz Akhannouch ont affiché leur bonne entente. Mais derrière cette façade, le discours des dirigeants est plus nuancé.
La réunion de "haut niveau" a abouti à la signature de 14 accords dans divers domaines, notamment la transformation numérique, la modernisation des administrations publiques et l'agriculture. Mais ce sont les déclarations du ministre espagnol Fernando Grande-Marlaska qui éclairent le contexte : "Les relations entre Rabat et Madrid sont magnifiques". Une phrase qui cache une réalité plus complexe.
En effet, ces accords sont souvent le fruit de compromis politiques. Le Sahara occidental est un sujet sensible qui a longtemps créé des tensions entre les deux pays. Mais depuis 2021, Madrid a considérablement changé d'attitude en soutenant le plan d'autonomie défendu par Rabat.
C'est une issue qui témoigne de la capacité de Rabat et de Madrid à trouver du terrain commun. Mais c'est aussi un exemple de diplomatie transactionnelle : les deux pays cherchent à avancer dans leur relation, mais cela revient souvent sur leurs compromis politiques. La question du Sahara occidental est encore loin d'être résolue, et il faudra attendre pour voir si ces accords sont durablement mis en œuvre.
En fin de compte, les relations entre Rabat et Madrid sont une histoire de compromis et de concessions. Mais cela peut également être un signe de la capacité des deux pays à trouver du terrain commun et à avancer dans leur relation.
En décembre dernier, les deux pays ont mis en place un sommet diplomatique à Madrid, où les Premiers ministres Pedro Sánchez et Aziz Akhannouch ont affiché leur bonne entente. Mais derrière cette façade, le discours des dirigeants est plus nuancé.
La réunion de "haut niveau" a abouti à la signature de 14 accords dans divers domaines, notamment la transformation numérique, la modernisation des administrations publiques et l'agriculture. Mais ce sont les déclarations du ministre espagnol Fernando Grande-Marlaska qui éclairent le contexte : "Les relations entre Rabat et Madrid sont magnifiques". Une phrase qui cache une réalité plus complexe.
En effet, ces accords sont souvent le fruit de compromis politiques. Le Sahara occidental est un sujet sensible qui a longtemps créé des tensions entre les deux pays. Mais depuis 2021, Madrid a considérablement changé d'attitude en soutenant le plan d'autonomie défendu par Rabat.
C'est une issue qui témoigne de la capacité de Rabat et de Madrid à trouver du terrain commun. Mais c'est aussi un exemple de diplomatie transactionnelle : les deux pays cherchent à avancer dans leur relation, mais cela revient souvent sur leurs compromis politiques. La question du Sahara occidental est encore loin d'être résolue, et il faudra attendre pour voir si ces accords sont durablement mis en œuvre.
En fin de compte, les relations entre Rabat et Madrid sont une histoire de compromis et de concessions. Mais cela peut également être un signe de la capacité des deux pays à trouver du terrain commun et à avancer dans leur relation.