ClavardageX
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Le CAC 40 a établi un nouveau record cette semaine, en clôturant en hausse de 0,64% et augmentant ainsi son rendement total (>«total return») à 13,77%. Un score qui pourrait paraître décevant compte tenu des soubresauts politiques actuels. Mais selon Grégoire Kounowski, directeur de la recherche chez Norman K., l'incertitude politique a peu d'impact sur le cours du CAC 40 depuis la dissolution en juin 2024.
Les secteurs qui ont le plus tiré vers le haut cette année sont l'industrie (Thales, Safran, Airbus), les services aux collectivités et télécoms (Bouygues, Engie, Orange) et quelques banques, dont Société générale. En revanche, des valeurs décotées comme Pernod Ricard ont affiché une baisse de -17% cette année.
Mais le CAC 40 devrait faire figure de mauvaise élève par rapport à ses voisins européens. Le Dax allemand a augmenté de +20% depuis le 1er janvier, l'Ibex espagnol est passé à +36% et le Mib italien a gagné +27%. L'or, quant à lui, devrait encore une fois signer une année record avec une hausse de presque 50% depuis le 1er janvier. Le prix de l'once est passé de 2 500 euros à près de 3 700 euros.
Selon Grégoire Kounowski, l'or a «devenu un actif spéculatif» et il est difficile de prédire la fin de la tendance haussière. Le seuil psychologique des 5 000 dollars l'once sera à surveiller, car il peut déclencher des ventes massives.
Les secteurs qui ont le plus tiré vers le haut cette année sont l'industrie (Thales, Safran, Airbus), les services aux collectivités et télécoms (Bouygues, Engie, Orange) et quelques banques, dont Société générale. En revanche, des valeurs décotées comme Pernod Ricard ont affiché une baisse de -17% cette année.
Mais le CAC 40 devrait faire figure de mauvaise élève par rapport à ses voisins européens. Le Dax allemand a augmenté de +20% depuis le 1er janvier, l'Ibex espagnol est passé à +36% et le Mib italien a gagné +27%. L'or, quant à lui, devrait encore une fois signer une année record avec une hausse de presque 50% depuis le 1er janvier. Le prix de l'once est passé de 2 500 euros à près de 3 700 euros.
Selon Grégoire Kounowski, l'or a «devenu un actif spéculatif» et il est difficile de prédire la fin de la tendance haussière. Le seuil psychologique des 5 000 dollars l'once sera à surveiller, car il peut déclencher des ventes massives.