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Le gouvernement a échoué à passer le gel du barème de l'impôt sur le revenu. Les députés ont largement rejeté cet amendement, ce qui signifie que les 200 000 foyers supplémentaires prévus pour payer cet impôt n'ont pas d'avenir. Cela représente une recette de deux milliards d'euros pour le budget 2026.
L'amendement de Laurent Wauquiez, patron des députés des Républicains, proposait d'indexer sur l'inflation estimée à 1,1 % le barème de l'impôt sur le revenu. Cet amendement a été adopté par une large coalition, allant de l'extrême-droite aux Insoumis. En effet, on s'est dit que les hausses d'impôts sont inacceptables et que les Français ne doivent pas être obligés de faire des efforts supplémentaires.
Selon Laurent Wauquiez, cette victoire est importante pour protéger les Français des hausses d'impôts. Il a également souligné l'importance de cohérence dans la politique fiscale. En effet, si les revenus plus élevés sont en mesure de faire un effort, pourquoi pas les autres ?
Cependant, certains amendements proposaient de revaloriser uniquement les tranches les plus basses du barème, ce qui n'a pas été accepté par la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin. D'un autre côté, certains députés de gauche ont exigé que seules les tranches les plus basses soient revalorisées, en vertu d'une logique de justice fiscale.
Laurent Wauquiez a expliqué que les Français ne doivent pas être obligés de baisser leur niveau de vie pour faire un effort. "On nous demande juste de faire cet effort minimal, de ne pas augmenter", a-t-il déclaré. Damien Maudet, député insoumis, a quant à lui considéré que ce n'est pas des Français qui devraient se mettre à contribution, mais plutôt ceux qui profitent le plus du système.
En tout cas, cela signifie que les hausses d'impôts seront en suspens pour l'instant. Le gouvernement aura donc à revoir sa politique fiscale et trouver un compromis avec ses opposants.
L'amendement de Laurent Wauquiez, patron des députés des Républicains, proposait d'indexer sur l'inflation estimée à 1,1 % le barème de l'impôt sur le revenu. Cet amendement a été adopté par une large coalition, allant de l'extrême-droite aux Insoumis. En effet, on s'est dit que les hausses d'impôts sont inacceptables et que les Français ne doivent pas être obligés de faire des efforts supplémentaires.
Selon Laurent Wauquiez, cette victoire est importante pour protéger les Français des hausses d'impôts. Il a également souligné l'importance de cohérence dans la politique fiscale. En effet, si les revenus plus élevés sont en mesure de faire un effort, pourquoi pas les autres ?
Cependant, certains amendements proposaient de revaloriser uniquement les tranches les plus basses du barème, ce qui n'a pas été accepté par la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin. D'un autre côté, certains députés de gauche ont exigé que seules les tranches les plus basses soient revalorisées, en vertu d'une logique de justice fiscale.
Laurent Wauquiez a expliqué que les Français ne doivent pas être obligés de baisser leur niveau de vie pour faire un effort. "On nous demande juste de faire cet effort minimal, de ne pas augmenter", a-t-il déclaré. Damien Maudet, député insoumis, a quant à lui considéré que ce n'est pas des Français qui devraient se mettre à contribution, mais plutôt ceux qui profitent le plus du système.
En tout cas, cela signifie que les hausses d'impôts seront en suspens pour l'instant. Le gouvernement aura donc à revoir sa politique fiscale et trouver un compromis avec ses opposants.