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Les députés de gauche s'est entretint d'un point commun : rejetter la taxe Zucman. Le Parti socialiste et ses alliés ont annoncé qu'ils feraient passer cette mesure par amendement, mais saïsies du projet de budget 2026, la commission des Finances a décidé de l'effacer.
Les quatre groupes de gauche défendaient ce dispositif, qui prévoit d'imposter aux contribuables au moins 100 millions d'euros de patrimoine un impôt minimum de 2% sur le total. Les économistes de la gauche soutiennent que c'est nécessaire pour rétablir l'équilibre fiscal, tandis que les députés socialistes abondent sur le fait qu'il s'agit du minimum de justice fiscale.
Cependant, le camp gouvernemental a pris position contre cette taxe. Le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR) a insisté sur le fait que c'est un repoussoir pour les nouveaux entrepreneurs qui veulent s'installer en France, et qu'elle mettrait en danger des entreprises innovantes. Jean-Philippe Tanguy (RN) a accusé ses opposants de ne pas soutenir une proposition pour un impôt sur la fortune financière.
La députée écologiste Eva Sas a rétorqué que le patrimoine professionnel rentre dans le périmètre de cette taxe, parce qu'il est là où les ultra-riches cachent leur fortune. Les députés poursuivront l'examen du texte en commission jusqu'à mercredi soir, avant d'entamer les débats dans l'hémicycle vendredi.
Les ultrariches font de la sur-optimisation fiscale et ceux qui payent régulièrement leurs impôts, comme le soutient Eva Sas, sont déjà dans une situation défavorable. Le camp gouvernemental continue à affirmer que c'est un dispositif injuste qui punit les entreprises innovantes et ne servira qu'à nourrir une vague de désindustrialisation.
Les quatre groupes de gauche défendaient ce dispositif, qui prévoit d'imposter aux contribuables au moins 100 millions d'euros de patrimoine un impôt minimum de 2% sur le total. Les économistes de la gauche soutiennent que c'est nécessaire pour rétablir l'équilibre fiscal, tandis que les députés socialistes abondent sur le fait qu'il s'agit du minimum de justice fiscale.
Cependant, le camp gouvernemental a pris position contre cette taxe. Le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR) a insisté sur le fait que c'est un repoussoir pour les nouveaux entrepreneurs qui veulent s'installer en France, et qu'elle mettrait en danger des entreprises innovantes. Jean-Philippe Tanguy (RN) a accusé ses opposants de ne pas soutenir une proposition pour un impôt sur la fortune financière.
La députée écologiste Eva Sas a rétorqué que le patrimoine professionnel rentre dans le périmètre de cette taxe, parce qu'il est là où les ultra-riches cachent leur fortune. Les députés poursuivront l'examen du texte en commission jusqu'à mercredi soir, avant d'entamer les débats dans l'hémicycle vendredi.
Les ultrariches font de la sur-optimisation fiscale et ceux qui payent régulièrement leurs impôts, comme le soutient Eva Sas, sont déjà dans une situation défavorable. Le camp gouvernemental continue à affirmer que c'est un dispositif injuste qui punit les entreprises innovantes et ne servira qu'à nourrir une vague de désindustrialisation.