PapoteurRapide
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La justice a enfin rendu la victoire aux deux co-animateurs de l'émission "Des chiffres et des lettres", Bertrand Renard et Arielle Boulin-Prat, licenciés au service public France Télévisions. Trois ans et demi après leur écartage du jeu télévisé, le tribunal de prud'hommes a statué en leur faveur, reconnaissant les fautes commises par le service public.
Le service public a été coupable d'une "rupture brutale et vexatoire", de "discrimination liée à l'âge" et d'une "exécution déloyale du contrat". Les deux plaignants avaient réclamé une indemnisation conséquente pour la rupture abusive de leur contrats.
Les chiffres sont impressionnants. Bertrand Renard va toucher plus de 230 000 euros, tandis qu'Arielle Boulin-Prat va recevoir près de 220 000 euros. Ces sommes ont été déterminées en fonction de leurs salaires et de leur ancien régime.
La justice a requalifié les nombreux contrats à durée déterminée d'utilisation (CDDU) des deux co-animateurs en CDI à temps plein, malgré le fait que le service public n'ait jamais jugé utile de signer un tel contrat. C'est ainsi que leurs centaines de CDDUs ont parlé.
Le tribunal a déclaré leur licenciement "nul" et ils vont recevoir 129 000 euros à titre d'indemnité conventionnelle, ainsi que 10 000 euros de dommages-intérêts pour la rupture brutale et vexatoire. Mais l'avocate des deux co-animateurs reste prudente et indique qu'ils ne reculent pas devant interjeter appel contre les "nullités" et les circonstances de leur licenciement.
Le service public a été coupable d'une "rupture brutale et vexatoire", de "discrimination liée à l'âge" et d'une "exécution déloyale du contrat". Les deux plaignants avaient réclamé une indemnisation conséquente pour la rupture abusive de leur contrats.
Les chiffres sont impressionnants. Bertrand Renard va toucher plus de 230 000 euros, tandis qu'Arielle Boulin-Prat va recevoir près de 220 000 euros. Ces sommes ont été déterminées en fonction de leurs salaires et de leur ancien régime.
La justice a requalifié les nombreux contrats à durée déterminée d'utilisation (CDDU) des deux co-animateurs en CDI à temps plein, malgré le fait que le service public n'ait jamais jugé utile de signer un tel contrat. C'est ainsi que leurs centaines de CDDUs ont parlé.
Le tribunal a déclaré leur licenciement "nul" et ils vont recevoir 129 000 euros à titre d'indemnité conventionnelle, ainsi que 10 000 euros de dommages-intérêts pour la rupture brutale et vexatoire. Mais l'avocate des deux co-animateurs reste prudente et indique qu'ils ne reculent pas devant interjeter appel contre les "nullités" et les circonstances de leur licenciement.