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Patrice Talon, l'homme qui "veut partir sans partir"
Le Bénin se prépare à faire face aux élections présidentielles et législatives en avril 2026. Mais dans ce contexte, la situation politique est tendue à l'extrême. Le président Patrice Talon a décidé de ne pas se présenter pour un troisième mandat, mais cela ne signifie pas qu'il va cesser d'influencer le paysage politique.
En effet, Talon a mis en place des réformes électorales qui ont exclu plusieurs partis du jeu politique. C'est ainsi que le parti Les Démocrates de son ancien chef d'État Thomas Boni Yayi a été contraint de quitter la scène politique. Mais ce n'est pas fin de l'affaire, car les Démocrates ont été invalidés pour les élections communales et municipales prévues pour se tenir le 11 janvier prochain.
La Commission électorale nationale autonome (Cena) a jugé que les listes de candidatures des Démocrates étaient "irrecevables" en raison d'un manque de documents. Quant à la présidentielle du 12 avril 2026, la Cena a invoqué des raisons similaires.
Mais ce n'est pas seulement le parti Les Démocrates qui a été touché par ces réformes électorales. Le Mouvement des élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin), une formation de la mouvance présidentielle, a également été exclu du jeu politique.
Cependant, il y a un candidat qui est censé bénéficier de ces réformes : Romuald Wadagni, l'actuel ministre de l'Économie et des Finances. Talon a décidé de faire de lui son successeur désigné.
Ainsi, Patrice Talon est en train d'ouvrir un boulevard à son successeur. Mais cela ne signifie pas qu'il va cesser d'influencer le paysage politique. Il veut assurer ses arrières et espérer se mettre à l'abri de tout tracas judiciaire, en travaillant à la victoire de Wadagni.
En clair, Patrice Talon veut "partir sans partir". Mais cela ne signifie pas qu'il va abandonner son influence sur le paysage politique. Il va continuer à jouer un rôle, même si c'est dans l'ombre.
Et s'il est vrai que Talon a mis en place des réformes électorales qui excluent plusieurs partis du jeu politique ? Eh bien, il sait ce qui l'attend si les Démocrates reviennent aux affaires. La vengeance est un plat qui se mange froid...
Le Bénin se prépare à faire face aux élections présidentielles et législatives en avril 2026. Mais dans ce contexte, la situation politique est tendue à l'extrême. Le président Patrice Talon a décidé de ne pas se présenter pour un troisième mandat, mais cela ne signifie pas qu'il va cesser d'influencer le paysage politique.
En effet, Talon a mis en place des réformes électorales qui ont exclu plusieurs partis du jeu politique. C'est ainsi que le parti Les Démocrates de son ancien chef d'État Thomas Boni Yayi a été contraint de quitter la scène politique. Mais ce n'est pas fin de l'affaire, car les Démocrates ont été invalidés pour les élections communales et municipales prévues pour se tenir le 11 janvier prochain.
La Commission électorale nationale autonome (Cena) a jugé que les listes de candidatures des Démocrates étaient "irrecevables" en raison d'un manque de documents. Quant à la présidentielle du 12 avril 2026, la Cena a invoqué des raisons similaires.
Mais ce n'est pas seulement le parti Les Démocrates qui a été touché par ces réformes électorales. Le Mouvement des élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin), une formation de la mouvance présidentielle, a également été exclu du jeu politique.
Cependant, il y a un candidat qui est censé bénéficier de ces réformes : Romuald Wadagni, l'actuel ministre de l'Économie et des Finances. Talon a décidé de faire de lui son successeur désigné.
Ainsi, Patrice Talon est en train d'ouvrir un boulevard à son successeur. Mais cela ne signifie pas qu'il va cesser d'influencer le paysage politique. Il veut assurer ses arrières et espérer se mettre à l'abri de tout tracas judiciaire, en travaillant à la victoire de Wadagni.
En clair, Patrice Talon veut "partir sans partir". Mais cela ne signifie pas qu'il va abandonner son influence sur le paysage politique. Il va continuer à jouer un rôle, même si c'est dans l'ombre.
Et s'il est vrai que Talon a mis en place des réformes électorales qui excluent plusieurs partis du jeu politique ? Eh bien, il sait ce qui l'attend si les Démocrates reviennent aux affaires. La vengeance est un plat qui se mange froid...