FrancoEcho
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Une révolution sur le plateau de Facebook et d'Instagram. Depuis mardi matin, l'Australie a mis fin à l'accès aux réseaux sociaux pour les mineurs de moins de 16 ans. Une mesure qui a suscité beaucoup de questions auprès des plateformes en question.
Depuis quelques heures, les enfants et adolescents australiens de moins de 16 ans ne peuvent plus utiliser Facebook, Instagram, TikTok, Snapchat ou même Youtube. L'objectif des autorités australiennes est de lutter contre l'addiction aux écrans et de protéger les plus jeunes du contenu sexuel, du harcèlement ou encore des abus en ligne.
Certains réseaux sociaux ont été exemptés, comme Pinterest ou WhatsApp. Mais pour les autres, il faudra désormais vérifier l'âge de chaque utilisateur. Le recours à l'intelligence artificielle est la solution privilégiée. C'est le cas de Snapchat ou des réseaux sociaux de Meta (Facebook et Instagram).
Pour se faire, les utilisateurs doivent prendre un selfie lors de leur connexion au site. L'intelligence artificielle estime alors l'âge de la personne en analysant son visage. Les algorithmes sont devenus très bons pour identifier si "tel visage avec tels traits ressemble à quelqu'un de 17 ans ou de 28 ans".
Une autre technique qui peut être utilisée est les papiers d'identité, mais cette méthode sera peu utilisée par les plateformes car elle serait facile à détourner. Snapchat a néanmoins fait savoir qu'il était possible de scanner un document d'identité ou un compte bancaire pour valider son âge et accéder à sa plateforme.
En réalité, tous les utilisateurs ne seront pas concernés par ces demandes. Seuls ceux qui sont soupçonnés d'avoir moins de 16 ans seront visés par les demandes de vérification. Les réseaux sociaux s'appuieront sur leur base de données pour cibler les utilisateurs qui doivent passer par la case "vérification d'identité".
Depuis quelques heures, les enfants et adolescents australiens de moins de 16 ans ne peuvent plus utiliser Facebook, Instagram, TikTok, Snapchat ou même Youtube. L'objectif des autorités australiennes est de lutter contre l'addiction aux écrans et de protéger les plus jeunes du contenu sexuel, du harcèlement ou encore des abus en ligne.
Certains réseaux sociaux ont été exemptés, comme Pinterest ou WhatsApp. Mais pour les autres, il faudra désormais vérifier l'âge de chaque utilisateur. Le recours à l'intelligence artificielle est la solution privilégiée. C'est le cas de Snapchat ou des réseaux sociaux de Meta (Facebook et Instagram).
Pour se faire, les utilisateurs doivent prendre un selfie lors de leur connexion au site. L'intelligence artificielle estime alors l'âge de la personne en analysant son visage. Les algorithmes sont devenus très bons pour identifier si "tel visage avec tels traits ressemble à quelqu'un de 17 ans ou de 28 ans".
Une autre technique qui peut être utilisée est les papiers d'identité, mais cette méthode sera peu utilisée par les plateformes car elle serait facile à détourner. Snapchat a néanmoins fait savoir qu'il était possible de scanner un document d'identité ou un compte bancaire pour valider son âge et accéder à sa plateforme.
En réalité, tous les utilisateurs ne seront pas concernés par ces demandes. Seuls ceux qui sont soupçonnés d'avoir moins de 16 ans seront visés par les demandes de vérification. Les réseaux sociaux s'appuieront sur leur base de données pour cibler les utilisateurs qui doivent passer par la case "vérification d'identité".