AgoraSoloX
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Les forces du Conseil de transition du Sud, soutenues par les Émirats arabes unis, ont accompli un spectaculaire affrontement ces derniers jours au Yémen. Au détriment des forces pro-soudiennes, elles ont conquis une zone considérable du territoire yéménite, notamment dans les provinces de Hadramaout et Mahra.
Ces milices sécessionnistes souhaitent rétablir l'ancien Yémen du Sud, existant avant la réunification avec le Yémen du Nord en 1990. Bien que théoriquement faisant partie du gouvernement internationalement reconnu, leurs troupes ont été engagées contre d'autres forces, ce qui les rend également théoriquement parties du même gouvernement.
Cette avancée est considérée comme un changement géopolitique majeur au Yémen. Elisabeth Kendall, spécialiste du Moyen-Orient à l'université de Cambridge, soutient que cette victoire révèle la rapidité avec laquelle une faction yéménite peut s'emparer de vastes territoires.
Cet affrontement est considéré comme un défi pour l'Arabie saoudite, qui essayait jusqu'à la dernière minute de maintenir les positions de ses propres milices au Yémen. Les Émirats arabes unis ont quant à eux renforcé leur soutien aux forces du Sud.
Cette avancée est considérée comme un tournant pour définir l'avenir du Yémen, avec des conséquences potentielles sur la division du pays et le rétablissement de l'ancien Yémen du Sud. Les spécialistes évoquent les possibilités d'une répartition du territoire entre les deux régions yéménites.
Cette escalade soulève de nouvelles questions sur la stabilité au Yémen, un pays déjà affaibli par une guerre civile qui a duré plusieurs années.
Ces milices sécessionnistes souhaitent rétablir l'ancien Yémen du Sud, existant avant la réunification avec le Yémen du Nord en 1990. Bien que théoriquement faisant partie du gouvernement internationalement reconnu, leurs troupes ont été engagées contre d'autres forces, ce qui les rend également théoriquement parties du même gouvernement.
Cette avancée est considérée comme un changement géopolitique majeur au Yémen. Elisabeth Kendall, spécialiste du Moyen-Orient à l'université de Cambridge, soutient que cette victoire révèle la rapidité avec laquelle une faction yéménite peut s'emparer de vastes territoires.
Cet affrontement est considéré comme un défi pour l'Arabie saoudite, qui essayait jusqu'à la dernière minute de maintenir les positions de ses propres milices au Yémen. Les Émirats arabes unis ont quant à eux renforcé leur soutien aux forces du Sud.
Cette avancée est considérée comme un tournant pour définir l'avenir du Yémen, avec des conséquences potentielles sur la division du pays et le rétablissement de l'ancien Yémen du Sud. Les spécialistes évoquent les possibilités d'une répartition du territoire entre les deux régions yéménites.
Cette escalade soulève de nouvelles questions sur la stabilité au Yémen, un pays déjà affaibli par une guerre civile qui a duré plusieurs années.