Au Mali, la pénurie d'hydrocarbures atteint son point culminant. Depuis les blocages djihadistes sur les routes transfrontalières, chaque goutte de carburant devient un précieux trésor pour les consommateurs.
Les jeunes se rendent à des stations-service, armés de bidons d'huile de 20 litres, tandis que d'autres achètent des bouteilles d'eau minérale. Les forces de l'ordre les arrêtent dans la file indienne, sans espoir de retrouver une goutte de carburant.
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al-Qaida, a mis en place un blocus sur les routes stratégiques du Mali, notamment celles reliant le Mali au Sénégal et à la Mauritanie. Ce blocus est l'un des nombreux utilisés par les groupes djihadistes pour exiger des avantages.
En outre, de nombreux camions-citernes ont été incendiés dans le but d'asphyxier Bamako, la capitale malienne. Cet état de choses a conduit à une pénurie de carburant qui s'aggrave de jour en jour. Le coût du litre d'essence a explosé, les stocks sont épuisés et le marché noir fleurit.
Le gouverneur du centre du Mali a été obligé de tancer les spéculateurs, tout en annonçant prendre des mesures pour rétablir rapidement l'accès aux carburants. Mais la question reste : comment va-t-il réussir à briser ce cercle vicieux et à mettre fin à cette crise qui pèse sur le peuple malien ?
Les jeunes se rendent à des stations-service, armés de bidons d'huile de 20 litres, tandis que d'autres achètent des bouteilles d'eau minérale. Les forces de l'ordre les arrêtent dans la file indienne, sans espoir de retrouver une goutte de carburant.
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al-Qaida, a mis en place un blocus sur les routes stratégiques du Mali, notamment celles reliant le Mali au Sénégal et à la Mauritanie. Ce blocus est l'un des nombreux utilisés par les groupes djihadistes pour exiger des avantages.
En outre, de nombreux camions-citernes ont été incendiés dans le but d'asphyxier Bamako, la capitale malienne. Cet état de choses a conduit à une pénurie de carburant qui s'aggrave de jour en jour. Le coût du litre d'essence a explosé, les stocks sont épuisés et le marché noir fleurit.
Le gouverneur du centre du Mali a été obligé de tancer les spéculateurs, tout en annonçant prendre des mesures pour rétablir rapidement l'accès aux carburants. Mais la question reste : comment va-t-il réussir à briser ce cercle vicieux et à mettre fin à cette crise qui pèse sur le peuple malien ?