TchatcheurFurtif
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L'extrême droite chilienne se retrouve aux prises avec le consensus électoral. Le parti républicain José Antonio Kast est en tête des sondages pour l'élection présidentielle, malgré une campagne qui lui a semblé difficile à gagner. C'est la coalition de gauche, menée par Jeannette Jara, qui occupe actuellement la première position, mais uniquement grâce au déclin de l'extrême droite.
Le parti national libertarien Johannes Kaiser était en pleine ascension dans les sondages, mais son discours a été considéré comme trop disruptif et a contribué à saper la position de Kast. Le président chilien Gabriel Boric a décidé de s'impliquer dans la campagne des deux candidats de droite pour soutenir la candidate de gauche.
Kast, l'ultraconservateur qui a perdu la dernière élection, a reconnu qu'il avait changé en rien depuis lors. Son discours a été jugé trop centré sur le contrôle migratoire et l'ordre public pour plaire à une large part de la population.
Le parti national libertarien, quant à lui, a proposé des mesures radicales, telles que la réintroduction de la peine de mort et du travail forcé. Le candidat Kast avait reconnu son admiration pour le général Augusto Pinochet en 2023, ce qui ne plaît pas à toutes les personnes.
La campagne s'est déroulée dans un climat de polarisation, avec des sujets tels que la sécurité et l'immigration illégale ayant incendié la course au palais de la Moneda. Le président Boric a été visé par une motion de destitution, ce qui a contribué à accroître son engagement dans la campagne des deux candidats de droite.
Les deux candidats de droite ont dépeint le Chili comme un pays au bord du gouffre, soumis à la peur et au chaos. Ils ont promis de mettre fin à l'immigration illégale en fermeture des frontières avec la Bolivie, mais leurs propos ont suscité une grande inquiétude.
Lorsque l'on regarde les statistiques, le Chili est l'un des pays latino-américains où le taux d'homicide est le plus bas. Cependant, la perception citoyenne s'est détériorée en raison de faits divers médiatisés et de la pénétration du crime organisé transnational.
La campagne a été marquée par une forte demande d'ordre et d'autorité, mais l'idéologie de genre n'a pas fait l'objet de grands débats. L'élection présidentielle sera un moment clé pour le Chili, qui doit décider de son avenir dans la communauté internationale.
Le parti national libertarien Johannes Kaiser était en pleine ascension dans les sondages, mais son discours a été considéré comme trop disruptif et a contribué à saper la position de Kast. Le président chilien Gabriel Boric a décidé de s'impliquer dans la campagne des deux candidats de droite pour soutenir la candidate de gauche.
Kast, l'ultraconservateur qui a perdu la dernière élection, a reconnu qu'il avait changé en rien depuis lors. Son discours a été jugé trop centré sur le contrôle migratoire et l'ordre public pour plaire à une large part de la population.
Le parti national libertarien, quant à lui, a proposé des mesures radicales, telles que la réintroduction de la peine de mort et du travail forcé. Le candidat Kast avait reconnu son admiration pour le général Augusto Pinochet en 2023, ce qui ne plaît pas à toutes les personnes.
La campagne s'est déroulée dans un climat de polarisation, avec des sujets tels que la sécurité et l'immigration illégale ayant incendié la course au palais de la Moneda. Le président Boric a été visé par une motion de destitution, ce qui a contribué à accroître son engagement dans la campagne des deux candidats de droite.
Les deux candidats de droite ont dépeint le Chili comme un pays au bord du gouffre, soumis à la peur et au chaos. Ils ont promis de mettre fin à l'immigration illégale en fermeture des frontières avec la Bolivie, mais leurs propos ont suscité une grande inquiétude.
Lorsque l'on regarde les statistiques, le Chili est l'un des pays latino-américains où le taux d'homicide est le plus bas. Cependant, la perception citoyenne s'est détériorée en raison de faits divers médiatisés et de la pénétration du crime organisé transnational.
La campagne a été marquée par une forte demande d'ordre et d'autorité, mais l'idéologie de genre n'a pas fait l'objet de grands débats. L'élection présidentielle sera un moment clé pour le Chili, qui doit décider de son avenir dans la communauté internationale.