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L'Apple, cible d'une nouvelle plainte de la Commission européenne pour étoffer la concurrence et étouffer la liberté d'expression.
Une nouvelle plaque de menace est déposée contre Apple. Les deux organisations britanniques et allemandes, Article 19 et GFF, ont porté plainte auprès de la Commission européenne en accusant l'entreprise de renforcer son "jardin fermé" sur le marché des applications.
Le DMA, qui vise à ouvrir le marché numérique à la concurrence, n'a pas suffi à convaincre Apple. L'entreprise a toujours contesté les règles du texte et traîne les pieds pour les mettre en œuvre. Or, les deux organisations accusent l'entreprise de continuer à contrôler l'accès aux applications et aux boutiques d'applications tierces sur ses plateformes iOS et iPadOS.
Le verrouillage structurel du marché des apps sur iPhone est un véritable obstacle pour les petites entreprises et les nouveaux acteurs. L'exigence de deux ans de participation au programme développeur Apple, une application ayant dépassé 1 million d'installations annuelles dans l'UE et une lettre de crédit bancaire de 1 million d'euros sont des barrières infranchissables.
Cette position de contrôleur d'accès limite la liberté d'expression numérique que le DMA cherche justement à préserver. L'enjeu dépasse la simple ouverture du marché des applications, et Apple exercerait un contrôle excessif sur la circulation des apps et, par extension, sur l'accès à l'information.
La Commission européenne devra réagir de manière ferme pour mettre fin à cette situation. Il faut que les règles du DMA soient respectées et que la concurrence soit véritablement ouverte. L'Apple ne peut pas continuer à étoffer le marché numérique et étouffer la liberté d'expression des citoyens européens.
Une nouvelle plaque de menace est déposée contre Apple. Les deux organisations britanniques et allemandes, Article 19 et GFF, ont porté plainte auprès de la Commission européenne en accusant l'entreprise de renforcer son "jardin fermé" sur le marché des applications.
Le DMA, qui vise à ouvrir le marché numérique à la concurrence, n'a pas suffi à convaincre Apple. L'entreprise a toujours contesté les règles du texte et traîne les pieds pour les mettre en œuvre. Or, les deux organisations accusent l'entreprise de continuer à contrôler l'accès aux applications et aux boutiques d'applications tierces sur ses plateformes iOS et iPadOS.
Le verrouillage structurel du marché des apps sur iPhone est un véritable obstacle pour les petites entreprises et les nouveaux acteurs. L'exigence de deux ans de participation au programme développeur Apple, une application ayant dépassé 1 million d'installations annuelles dans l'UE et une lettre de crédit bancaire de 1 million d'euros sont des barrières infranchissables.
Cette position de contrôleur d'accès limite la liberté d'expression numérique que le DMA cherche justement à préserver. L'enjeu dépasse la simple ouverture du marché des applications, et Apple exercerait un contrôle excessif sur la circulation des apps et, par extension, sur l'accès à l'information.
La Commission européenne devra réagir de manière ferme pour mettre fin à cette situation. Il faut que les règles du DMA soient respectées et que la concurrence soit véritablement ouverte. L'Apple ne peut pas continuer à étoffer le marché numérique et étouffer la liberté d'expression des citoyens européens.