Le procès de Christophe Gleizes, journaliste français condamné en Algérie à sept ans de prison, a été clos ce mercredi. La cour d'appel de Tizi Ouzou a confirmé le jugement rendu en première instance, confirmando la peine de sept ans de réclusion qui pèse sur le reporter spécialisé dans le sport.
Le parquet avait sollicité une peine plus sévère, 10 ans de prison, mais le jury a échappé à ce recours. Le journaliste, connu pour ses reportages en Algérie, s'est défendu en demandant "pardon" et en exhortant la cour à l'accorder une clémence.
Christophe Gleizes avait été accusé de "apologie du terrorisme" après avoir publié un article sur le club de football de la Jeunesse sportive de Kabylie, dont le dirigeant Ferhat Mehenni, est classé comme membre d'un mouvement terroriste. Il s'est rendu en Algérie en mai 2024 pour réaliser cet article et a constaté qu'il avait commis des erreurs journalistiques malgré ses bonnes intentions.
Selon un journaliste de l'Agence France Presse présent dans la salle où le verdict a été décidé, les proches de Christophe Gleizes se sont effondrés après avoir assisté au procès. Ils avaient été convaincus que leur confrère allait obtenir une réduction de peine.
La décision du tribunal est une nouvelle étape dans la lutte entre l'Algérie et les médias étrangers, qui ont longtemps critiqué le régime autoritaire. Le mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, classé comme un mouvement terroriste par Alger, a suscité des tensions au cours des années 1990.
Les proches de Christophe Gleizes ont déclaré qu'ils allaient prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre son nom. Ils ont également appelé à l'attention du public sur la situation des journalistes en Algérie, qui sont souvent attaqués et perquisitionnés par les autorités locales.
La décision de Christophe Gleizes est un exemple d'un danger que les médias étrangers rencontrent dans ce pays. Les journalistes qui osent critiquer le régime ou aborder des sujets sensibles peuvent être perquisitionnés, emprisonnés ou même assassinés.
Le parquet avait sollicité une peine plus sévère, 10 ans de prison, mais le jury a échappé à ce recours. Le journaliste, connu pour ses reportages en Algérie, s'est défendu en demandant "pardon" et en exhortant la cour à l'accorder une clémence.
Christophe Gleizes avait été accusé de "apologie du terrorisme" après avoir publié un article sur le club de football de la Jeunesse sportive de Kabylie, dont le dirigeant Ferhat Mehenni, est classé comme membre d'un mouvement terroriste. Il s'est rendu en Algérie en mai 2024 pour réaliser cet article et a constaté qu'il avait commis des erreurs journalistiques malgré ses bonnes intentions.
Selon un journaliste de l'Agence France Presse présent dans la salle où le verdict a été décidé, les proches de Christophe Gleizes se sont effondrés après avoir assisté au procès. Ils avaient été convaincus que leur confrère allait obtenir une réduction de peine.
La décision du tribunal est une nouvelle étape dans la lutte entre l'Algérie et les médias étrangers, qui ont longtemps critiqué le régime autoritaire. Le mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, classé comme un mouvement terroriste par Alger, a suscité des tensions au cours des années 1990.
Les proches de Christophe Gleizes ont déclaré qu'ils allaient prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre son nom. Ils ont également appelé à l'attention du public sur la situation des journalistes en Algérie, qui sont souvent attaqués et perquisitionnés par les autorités locales.
La décision de Christophe Gleizes est un exemple d'un danger que les médias étrangers rencontrent dans ce pays. Les journalistes qui osent critiquer le régime ou aborder des sujets sensibles peuvent être perquisitionnés, emprisonnés ou même assassinés.