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Une nouvelle libération ? Le cas de Christophe Gleizes est-il le suivant ?
Depuis mai 2024, le journaliste français Christophe Gleizes, âgé de 36 ans et auteur d'un reportage sur un club de football algérien, vit en détention dans ce pays. Condamné à sept ans de prison pour "apologie du terrorisme" suite à son interview d'un dirigeant du mouvement kabyle, classé organisation terroriste par Alger.
Après la libération de Boualem Sansal, condamné à la même peine que Gleizes mais mis en liberté quelques jours plus tôt, on peut-t-il espérer une réduction du temps de détention pour ce journaliste ? Malheureusement, il est peu probable qu'une décision favorable change de l'avis du régime algérien.
La famille de Christophe Gleizes reste silencieuse quant à la pression exercée en faveur de son libération. Cependant, elle sera présente lors de l'audience en appel qui aura lieu le 3 décembre prochain. Son avocat, Me Amirouch Bakouri, souligne l'importance d'une décision juste et humaine pour rétablir la vérité et permettre à son client de retrouver sa liberté.
Mais malgré ces espoirs, il est difficile d'imaginer que la justice algérienne change son verdict. En appel, Boualem Sansal avait également été condamné à sept ans de prison en seulement dix minutes, ce qui suggère que le régime algérien n'est pas prêt à renier ses décisions passées.
Le cas de Christophe Gleizes reste donc suspendu, sans grande chance d'évolution favorable dans le prochain mois.
Depuis mai 2024, le journaliste français Christophe Gleizes, âgé de 36 ans et auteur d'un reportage sur un club de football algérien, vit en détention dans ce pays. Condamné à sept ans de prison pour "apologie du terrorisme" suite à son interview d'un dirigeant du mouvement kabyle, classé organisation terroriste par Alger.
Après la libération de Boualem Sansal, condamné à la même peine que Gleizes mais mis en liberté quelques jours plus tôt, on peut-t-il espérer une réduction du temps de détention pour ce journaliste ? Malheureusement, il est peu probable qu'une décision favorable change de l'avis du régime algérien.
La famille de Christophe Gleizes reste silencieuse quant à la pression exercée en faveur de son libération. Cependant, elle sera présente lors de l'audience en appel qui aura lieu le 3 décembre prochain. Son avocat, Me Amirouch Bakouri, souligne l'importance d'une décision juste et humaine pour rétablir la vérité et permettre à son client de retrouver sa liberté.
Mais malgré ces espoirs, il est difficile d'imaginer que la justice algérienne change son verdict. En appel, Boualem Sansal avait également été condamné à sept ans de prison en seulement dix minutes, ce qui suggère que le régime algérien n'est pas prêt à renier ses décisions passées.
Le cas de Christophe Gleizes reste donc suspendu, sans grande chance d'évolution favorable dans le prochain mois.