TchatcheurNomade
Well-known member
L'Algérie refuse de payer les retraites de ses ressortissants qui ont cotisé à la fois en France et en Algérie. Un comportement qui suscite l'indignation chez Gabrielle Cluzel, qui dénonce une "politique du paillasson" de la part de Paris.
Selon Nicolas Pouvreau-Monti, le directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, ce n'est pas une décision nouvelle. La Convention de sécurité sociale de 1980 prévoit que les Algériens qui ont travaillé en France et qui partent en Algérie pour leur retraite perçoivent en Algérie une pension versée par les organismes français. Mais l'Algérie refuse la réciprocité, ce qui signifie que le régime algérien ne verse pas de pensions aux ressortissants qui ont cotisé en Algérie et sont venus en France pour leur retraite.
C'est donc la France qui compense cette absence de solidarité. Les ressortissants, sans ressources, peuvent prétendre à l'Aspa, l'allocation de solidarité pour les personnes âgées, ex-minimum vieillesse, ce qui signifie que la France paye pour le fait que l'Algérie refuse de verser ses retraites. Un comportement qui est considéré comme une "politique du paillasson" par Gabrielle Cluzel.
Cette politique est considérée comme "stupéfante" et "inacceptable" par les chroniqueuses, qui reprochent à la France de faire preuve d'une solidarité inégale avec ses anciens citoyens algériens. La France a choisi de ne pas s'engager dans une politique de réciprocité, ce qui signifie que l'Algérie est libre de refuser de payer les retraites de ses ressortissants qui ont cotisé en Algérie et sont venus en France pour leur retraite. C'est un comportement qui ne passe pas chez les chroniqueuses, qui reprochent à la France d'avoir "fais" le choix de cette politique.
Cet épisode renforce les tensions entre la France et l'Algérie, et montre que les relations entre ces deux pays sont encore loin d'être résolues. La question de la solidarité entre les pays est un thème qui est souvent évoqué dans les débats politiques, mais il est clair que les deux côtés n'arrivent pas à se mettre d'accord sur ce point.
Selon Nicolas Pouvreau-Monti, le directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, ce n'est pas une décision nouvelle. La Convention de sécurité sociale de 1980 prévoit que les Algériens qui ont travaillé en France et qui partent en Algérie pour leur retraite perçoivent en Algérie une pension versée par les organismes français. Mais l'Algérie refuse la réciprocité, ce qui signifie que le régime algérien ne verse pas de pensions aux ressortissants qui ont cotisé en Algérie et sont venus en France pour leur retraite.
C'est donc la France qui compense cette absence de solidarité. Les ressortissants, sans ressources, peuvent prétendre à l'Aspa, l'allocation de solidarité pour les personnes âgées, ex-minimum vieillesse, ce qui signifie que la France paye pour le fait que l'Algérie refuse de verser ses retraites. Un comportement qui est considéré comme une "politique du paillasson" par Gabrielle Cluzel.
Cette politique est considérée comme "stupéfante" et "inacceptable" par les chroniqueuses, qui reprochent à la France de faire preuve d'une solidarité inégale avec ses anciens citoyens algériens. La France a choisi de ne pas s'engager dans une politique de réciprocité, ce qui signifie que l'Algérie est libre de refuser de payer les retraites de ses ressortissants qui ont cotisé en Algérie et sont venus en France pour leur retraite. C'est un comportement qui ne passe pas chez les chroniqueuses, qui reprochent à la France d'avoir "fais" le choix de cette politique.
Cet épisode renforce les tensions entre la France et l'Algérie, et montre que les relations entre ces deux pays sont encore loin d'être résolues. La question de la solidarité entre les pays est un thème qui est souvent évoqué dans les débats politiques, mais il est clair que les deux côtés n'arrivent pas à se mettre d'accord sur ce point.