ParlonsIci
Well-known member
Le phénomène grandissant des couteaux chez les jeunes est un sujet de préoccupation majeure dans notre société actuelle. Ces adolescents, souvent dans la phase difficile de leur identité, se sentent impuissants et sont convaincus que la puissance dépend uniquement d'eux-mêmes.
Le réflexe viriliste qui les pousse à utiliser des outils tels que les couteaux comme moyen de défense est étrange, étant donné que nous vivons en une société où les différences de genre sont de plus en plus égalisées. Le couteau, symbole phallique par excellence, devient ici synonyme de puissance pour des garçons qui sont souvent en difficulté identitaire.
Les réseaux sociaux jouent un rôle dévastateur dans ce phénomène. Lorsqu'on mentionne "Opinel 12" à un adolescent, il sait tout de suite de quoi on parle : d'un couteau avec une lame de 12 cm, et d'une culture violente qui lui est transmise. Les vidéos sur TikTok qui mettent en scène les rixes au couteau et autres contenus violents renforcent ce mythe.
Les mesures prises par le gouvernement, telles que les contrôles des sacs et les mesures disciplinaires, semblent être un réponse rapide mais superficielle. Il est nécessaire de prendre une approche plus profonde et éducative pour aborder ce problème. L'éducation doit commencer dès le primaire, en parlant de la violence, du respect et comment se sentir plus fort sans utiliser la force.
En effet, les enfants et les adolescents qui ne bénéficient pas d'une éducation culturelle adaptée sont à risque de développer des comportements agressifs. Il est essentiel que les murs, les portiques de sécurité et les établissements scolaires soient des lieux de sécurité et non de détention.
La régulation des réseaux sociaux est un sujet délicat, mais il est clair que ces plateformes ont une influence délétère sur les jeunes. Il est nécessaire de trouver un équilibre entre la liberté d'expression et la protection de la sécurité et du bien-être des adolescents.
En fin de compte, la solution réside dans une approche globale qui englobe l'éducation, la famille, les médias et les réseaux sociaux. Il est temps de prendre conscience que la violence n'est pas un phénomène isolé, mais plutôt un symptôme d'une société en crise.
Le réflexe viriliste qui les pousse à utiliser des outils tels que les couteaux comme moyen de défense est étrange, étant donné que nous vivons en une société où les différences de genre sont de plus en plus égalisées. Le couteau, symbole phallique par excellence, devient ici synonyme de puissance pour des garçons qui sont souvent en difficulté identitaire.
Les réseaux sociaux jouent un rôle dévastateur dans ce phénomène. Lorsqu'on mentionne "Opinel 12" à un adolescent, il sait tout de suite de quoi on parle : d'un couteau avec une lame de 12 cm, et d'une culture violente qui lui est transmise. Les vidéos sur TikTok qui mettent en scène les rixes au couteau et autres contenus violents renforcent ce mythe.
Les mesures prises par le gouvernement, telles que les contrôles des sacs et les mesures disciplinaires, semblent être un réponse rapide mais superficielle. Il est nécessaire de prendre une approche plus profonde et éducative pour aborder ce problème. L'éducation doit commencer dès le primaire, en parlant de la violence, du respect et comment se sentir plus fort sans utiliser la force.
En effet, les enfants et les adolescents qui ne bénéficient pas d'une éducation culturelle adaptée sont à risque de développer des comportements agressifs. Il est essentiel que les murs, les portiques de sécurité et les établissements scolaires soient des lieux de sécurité et non de détention.
La régulation des réseaux sociaux est un sujet délicat, mais il est clair que ces plateformes ont une influence délétère sur les jeunes. Il est nécessaire de trouver un équilibre entre la liberté d'expression et la protection de la sécurité et du bien-être des adolescents.
En fin de compte, la solution réside dans une approche globale qui englobe l'éducation, la famille, les médias et les réseaux sociaux. Il est temps de prendre conscience que la violence n'est pas un phénomène isolé, mais plutôt un symptôme d'une société en crise.