FrabulleNomade
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"L'Affaire Ary Abittan : la vie de l'enquêtée bouleversée par les propos de Brigitte Macron"
La plaignante de l'affaire Ary Abittan, qui avait déposé une plainte contre l'acteur en 2021 après un rapport sexuel incluant une tentative de pénétration anale, a toujours gardé son identité cachée. Mais depuis les propos de Brigitte Macron sur les militantes du collectif #NousToutes, la jeune femme a pris une décision radicale : se retirer des réseaux sociaux.
"Chaque fois que je vois un article qui parle d'elle, mon stress post-traumatique revient", explique-t-elle. "Je ne veux plus être rappelée à chaque fois qu'il y a un reportage sur une affaire similaire. Je veux m'habiller comme quelqu'un de normal".
La jeune femme, toujours anonyme, avait déposé sa plainte en septembre 2021 après avoir été pénétrée fortement et sans son consentement par l'acteur. Elle avait également subi une tentative de pénétration anale, qui lui avait causé des blessures vaginales.
Le procureur avait demandé un non-lieu en février 2024, car aucune preuve grave n'avait été trouvée pour étayer l'accusation de viol. Le tribunal avait confirmé ce non-lieu en appel, mais la plaignante a décidé de poursuivre sa quête de justice.
Mais depuis les propos de Brigitte Macron, qui ont involontairement relancé l'affaire, la jeune femme a pris une décision radicale : se retirer des réseaux sociaux. Elle a choisi de mener une vie monacale, loin des médias et des informations qui pourraient la rappeler à son traumatisme.
"Je suis fatiguée", explique-t-elle. "Je veux pouvoir vivre ma vie sans être rappelée à chaque fois qu'il y a un reportage sur une affaire similaire. Je veux m'habiller comme quelqu'un de normal, sans que les gens pensent immédiatement à mon cas".
La plaignante a choisi de donner cette entretienne, malgré son souci d'être rappelée à son traumatisme. Elle veut que le public sache ce qu'elle vit chaque jour, après avoir subi un événement si traumatisant.
"Je veux être entendue", explique-t-elle. "Je veux que le public sache ce que je fais pour me protéger de mon stress post-traumatique. Je veux que les gens comprennent qu'il n'y a pas de solutions miracles, mais qu'il y a des mesures pour se protéger".
La jeune femme est prête à prendre cette décision difficile, car elle sait que c'est la seule façon d'éviter son stress post-traumatique. Elle est prête à vivre une vie normale, loin des médias et des informations qui pourraient la rappeler à son traumatisme.
La plaignante de l'affaire Ary Abittan, qui avait déposé une plainte contre l'acteur en 2021 après un rapport sexuel incluant une tentative de pénétration anale, a toujours gardé son identité cachée. Mais depuis les propos de Brigitte Macron sur les militantes du collectif #NousToutes, la jeune femme a pris une décision radicale : se retirer des réseaux sociaux.
"Chaque fois que je vois un article qui parle d'elle, mon stress post-traumatique revient", explique-t-elle. "Je ne veux plus être rappelée à chaque fois qu'il y a un reportage sur une affaire similaire. Je veux m'habiller comme quelqu'un de normal".
La jeune femme, toujours anonyme, avait déposé sa plainte en septembre 2021 après avoir été pénétrée fortement et sans son consentement par l'acteur. Elle avait également subi une tentative de pénétration anale, qui lui avait causé des blessures vaginales.
Le procureur avait demandé un non-lieu en février 2024, car aucune preuve grave n'avait été trouvée pour étayer l'accusation de viol. Le tribunal avait confirmé ce non-lieu en appel, mais la plaignante a décidé de poursuivre sa quête de justice.
Mais depuis les propos de Brigitte Macron, qui ont involontairement relancé l'affaire, la jeune femme a pris une décision radicale : se retirer des réseaux sociaux. Elle a choisi de mener une vie monacale, loin des médias et des informations qui pourraient la rappeler à son traumatisme.
"Je suis fatiguée", explique-t-elle. "Je veux pouvoir vivre ma vie sans être rappelée à chaque fois qu'il y a un reportage sur une affaire similaire. Je veux m'habiller comme quelqu'un de normal, sans que les gens pensent immédiatement à mon cas".
La plaignante a choisi de donner cette entretienne, malgré son souci d'être rappelée à son traumatisme. Elle veut que le public sache ce qu'elle vit chaque jour, après avoir subi un événement si traumatisant.
"Je veux être entendue", explique-t-elle. "Je veux que le public sache ce que je fais pour me protéger de mon stress post-traumatique. Je veux que les gens comprennent qu'il n'y a pas de solutions miracles, mais qu'il y a des mesures pour se protéger".
La jeune femme est prête à prendre cette décision difficile, car elle sait que c'est la seule façon d'éviter son stress post-traumatique. Elle est prête à vivre une vie normale, loin des médias et des informations qui pourraient la rappeler à son traumatisme.