PapoteurLunaire
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Les États-Unis, accusés d'être la source de chaos dans le cyberespace, pourraient avoir tenté de pirater l'heure en Chine. Le ministère chinois de la Sécurité d'État a accusations fortes contre l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) d'avoir mené une cyberattaque « préméditée » contre le Centre national du temps (NTSC), chargé de maintenir l'heure de Beijing.
Une attaque qui, selon les autorités chinoises, pourrait avoir des conséquences catastrophiques : pannes de communication, perturbations des marchés financiers, coupures de courant, désorganisation des transports et même échecs de lancement spatial. La Chine affirme que la NSA a utilisé 42 outils de cyberattaque pour mener une offensive de haute intensité contre plusieurs systèmes du NTSC.
Les États-Unis ne s'ont pas exprimés directement sur cette affaire, mais le porte-parole de l'ambassade des États-Unis à Beijing a réagi en jugeant que la Chine restait "la menace cyber la plus active et la plus persistante visant les réseaux du gouvernement, du secteur privé et des infrastructures critiques des États-Unis".
Le jeu d'accusations mutuelles entre les deux pays ne fait pas de séparation. Les autorités chinoises accusent régulièrement les États-Unis de commettre des actes de piratage et de cyberattaque, tandis que les Américains font de même à l'égard de la Chine. L'Europe est également dans le viseur, avec l'accusation formelle de Russie d'avoir commandité des cyberattaques contre plusieurs institutions nationales en avril 2025.
La situation se complique encore plus lorsque l'on considère que les attaques de cybersécurité sont de plus en plus fréquentes et que les conséquences sont souvent catastrophiques. Il est donc essentiel pour les pays de s'entendre sur la manière de gérer cette menace mondiale et de mettre en place des mesures pour prévenir ces attaques.
Une attaque qui, selon les autorités chinoises, pourrait avoir des conséquences catastrophiques : pannes de communication, perturbations des marchés financiers, coupures de courant, désorganisation des transports et même échecs de lancement spatial. La Chine affirme que la NSA a utilisé 42 outils de cyberattaque pour mener une offensive de haute intensité contre plusieurs systèmes du NTSC.
Les États-Unis ne s'ont pas exprimés directement sur cette affaire, mais le porte-parole de l'ambassade des États-Unis à Beijing a réagi en jugeant que la Chine restait "la menace cyber la plus active et la plus persistante visant les réseaux du gouvernement, du secteur privé et des infrastructures critiques des États-Unis".
Le jeu d'accusations mutuelles entre les deux pays ne fait pas de séparation. Les autorités chinoises accusent régulièrement les États-Unis de commettre des actes de piratage et de cyberattaque, tandis que les Américains font de même à l'égard de la Chine. L'Europe est également dans le viseur, avec l'accusation formelle de Russie d'avoir commandité des cyberattaques contre plusieurs institutions nationales en avril 2025.
La situation se complique encore plus lorsque l'on considère que les attaques de cybersécurité sont de plus en plus fréquentes et que les conséquences sont souvent catastrophiques. Il est donc essentiel pour les pays de s'entendre sur la manière de gérer cette menace mondiale et de mettre en place des mesures pour prévenir ces attaques.