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Noémie Lenoir, la descente aux enfers d'une addiction qui sembla insurmontable. Le mannequin qui a découvert que l'alcoolisme n'était pas de quantité, mais de rapport.
Chez Noémie Lenoir, les débuts en alcoolisme ont commencé il y a quelques années. La jeune maman, qui avait quinze ans lorsqu'elle a débuté dans le mannequinat, a avoué que "il n'y avait pas un jour où elle ne pensait pas à boire". Un verre de champagne sur la table lors d'un repas de famille en 2017 a été le moment de l'initiation. Mais au lieu de se régler, Noémie s'est dirigée vers la cuisine pour boire.
Un spectacle qui a choqué son ex-compagnon, qui a pris la main de Noémie dans le sac et lui a dit : "Ce n'est plus possible". Un électrochoc qui a permis au mannequin d'aller de l'avant. Elle a rencontré un psy en 2011, avec qui elle est suivie depuis, ainsi qu'une équipe pluridisciplinaire.
Le professionnel de santé Amine Benyamina a expliqué que c'est le rapport à l'alcool qui nous permet de savoir si nous sommes alcooliques, et non la quantité. "À partir de quand on a le sentiment qu'un verre vient jouer un rôle particulier ? C'est-à-dire ce verre, il vient rompre avec un déséquilibre, un mal-être". Il y a un moment où boire devient nécessaire pour fonctionner.
Pour Noémie Lenoir, l'alcoolisme a été une issue à trouver pour affronter ses maux. Mais son histoire nous montre que c'est souvent les petits gestes qui peuvent rendre tout le difference.
Chez Noémie Lenoir, les débuts en alcoolisme ont commencé il y a quelques années. La jeune maman, qui avait quinze ans lorsqu'elle a débuté dans le mannequinat, a avoué que "il n'y avait pas un jour où elle ne pensait pas à boire". Un verre de champagne sur la table lors d'un repas de famille en 2017 a été le moment de l'initiation. Mais au lieu de se régler, Noémie s'est dirigée vers la cuisine pour boire.
Un spectacle qui a choqué son ex-compagnon, qui a pris la main de Noémie dans le sac et lui a dit : "Ce n'est plus possible". Un électrochoc qui a permis au mannequin d'aller de l'avant. Elle a rencontré un psy en 2011, avec qui elle est suivie depuis, ainsi qu'une équipe pluridisciplinaire.
Le professionnel de santé Amine Benyamina a expliqué que c'est le rapport à l'alcool qui nous permet de savoir si nous sommes alcooliques, et non la quantité. "À partir de quand on a le sentiment qu'un verre vient jouer un rôle particulier ? C'est-à-dire ce verre, il vient rompre avec un déséquilibre, un mal-être". Il y a un moment où boire devient nécessaire pour fonctionner.
Pour Noémie Lenoir, l'alcoolisme a été une issue à trouver pour affronter ses maux. Mais son histoire nous montre que c'est souvent les petits gestes qui peuvent rendre tout le difference.