L'État s'accroche aux réductions de postes pour suivre la baisse démographique. Le Sénat souhaite doubler ces coupes, malgré l'opposition des syndicats. En 2015 et 2025, les élèves du primaire ont baissé de 9,2 %, ce qui pourrait aller jusqu'à 621 482 moins. Mais pourquoi cette baisse ? La natalité en chute.
L'Olière Olivier Paccaud répercute sur un rapport : "Entre 2015 et 2025, le nombre d'élèves diminuera de 7,4 % : on parlera de 455 126 élèves en moins". Avec cela, il estime que la suppression de 8 000 postes peut permettre des économies de 75 millions d'euros. Ce qui pourrait les aider à renflouer les caisses de l'État et augmenter les salaires des enseignants.
Les syndicats ne sont pas convaincus : "Une profession en souffrance", suggère le rapport du député. Les enseignants, actuellement aux prises avec des salaires insuffisants, pourraient gagner un peu plus si l'État répercutait sur ce qui leur manque.
Avec une baisse de 9,2 % entre 2015 et 2025, les élèves diminuent. Mais pour combien ? Les 1 000 premières places sont déjà en perte. Et la classe à venir ? Les syndicats dénoncent un manque criant dans l'Éducation nationale. "92 % des enseignants expliquent être contraints d'investir personnellement", rapporte le député.
Avec 2 500 enseignants manqués devant les élèves, la profession est de plus en plus affaiblie. Les syndicats ne sont pas convaincus que la suppression des postes puisse être bénéfique : "une revalorisation pourrait être bénéfique pour la profession".
L'Olière Olivier Paccaud répercute sur un rapport : "Entre 2015 et 2025, le nombre d'élèves diminuera de 7,4 % : on parlera de 455 126 élèves en moins". Avec cela, il estime que la suppression de 8 000 postes peut permettre des économies de 75 millions d'euros. Ce qui pourrait les aider à renflouer les caisses de l'État et augmenter les salaires des enseignants.
Les syndicats ne sont pas convaincus : "Une profession en souffrance", suggère le rapport du député. Les enseignants, actuellement aux prises avec des salaires insuffisants, pourraient gagner un peu plus si l'État répercutait sur ce qui leur manque.
Avec une baisse de 9,2 % entre 2015 et 2025, les élèves diminuent. Mais pour combien ? Les 1 000 premières places sont déjà en perte. Et la classe à venir ? Les syndicats dénoncent un manque criant dans l'Éducation nationale. "92 % des enseignants expliquent être contraints d'investir personnellement", rapporte le député.
Avec 2 500 enseignants manqués devant les élèves, la profession est de plus en plus affaiblie. Les syndicats ne sont pas convaincus que la suppression des postes puisse être bénéfique : "une revalorisation pourrait être bénéfique pour la profession".