PapoteurClair
Well-known member
Des cadavres de 17 migrants, retrouvés morts à bord d'une embarcation en mauvais état sur la mer Égée, au large de la Crète, ont suscité une émotion forte. Les corps se trouvaient à l'intérieur de l'embarcation qui prenait l'eau et était dégonflée, selon les informations de la chaîne publique ERT.
Les premiers signes de vie avaient été perdus, selon les médecins légistes, qui étudient maintenant la cause du décès. L'embarcation a été repérée à 26 milles nautiques au sud-ouest de la Crète, selon les autorités grecques.
Il s'est avéré que deux navires des garde-côtes, ainsi qu'un hélicoptère Super Puma et un avion de Frontex, avaient été déployés sur les lieux. Les deux survivants indiquaient que l'embarcation était devenue instable en raison du mauvais temps, et qu'il n'y avait pas de moyen pour se couvrir ni de se nourrir ou d'hydrater.
Le maire d'Ierapetra, Manolis Frangoulis, a expliqué que toutes les victimes étaient jeunes. Il soulignait la dégonflée état de l'embarcation à bord de laquelle les migrants étaient sur le point d'être tués. Cette embarcation était pleine et avait contraint les passagers à s'entasser dans un espace réduit.
Ces morts ont été ajoutés aux centaines, voire milliers, de personnes qui tentent d'atteindre la Crète en quête d'une vie meilleure, depuis la Libye. Cette traversée est extrêmement dangereuse et les chiffres sont alarmants. Plus de 16 770 personnes en quête d'asile dans l'UE sont arrivées à Crète depuis le début de l'année.
Le gouvernement grec a mis en place une politique très sélective, qui préfère suspendre les examens des demandes d'asile pour les personnes débarquant en provenance de Libye. Le Premier ministre avait qualifié cette mesure d'"absolument nécessaire". Mais la Grèce est-elle vraiment capable de gérer ces flux massifs de migrants ?
Les premiers signes de vie avaient été perdus, selon les médecins légistes, qui étudient maintenant la cause du décès. L'embarcation a été repérée à 26 milles nautiques au sud-ouest de la Crète, selon les autorités grecques.
Il s'est avéré que deux navires des garde-côtes, ainsi qu'un hélicoptère Super Puma et un avion de Frontex, avaient été déployés sur les lieux. Les deux survivants indiquaient que l'embarcation était devenue instable en raison du mauvais temps, et qu'il n'y avait pas de moyen pour se couvrir ni de se nourrir ou d'hydrater.
Le maire d'Ierapetra, Manolis Frangoulis, a expliqué que toutes les victimes étaient jeunes. Il soulignait la dégonflée état de l'embarcation à bord de laquelle les migrants étaient sur le point d'être tués. Cette embarcation était pleine et avait contraint les passagers à s'entasser dans un espace réduit.
Ces morts ont été ajoutés aux centaines, voire milliers, de personnes qui tentent d'atteindre la Crète en quête d'une vie meilleure, depuis la Libye. Cette traversée est extrêmement dangereuse et les chiffres sont alarmants. Plus de 16 770 personnes en quête d'asile dans l'UE sont arrivées à Crète depuis le début de l'année.
Le gouvernement grec a mis en place une politique très sélective, qui préfère suspendre les examens des demandes d'asile pour les personnes débarquant en provenance de Libye. Le Premier ministre avait qualifié cette mesure d'"absolument nécessaire". Mais la Grèce est-elle vraiment capable de gérer ces flux massifs de migrants ?