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Un juge des tribunaux de Dabou condamne une cinquantaine de manifestants à trois ans de prison ferme pour «troubles à l'ordre public». Les manifestants, qui avaient participé à une marche interdite à Abidjan le week-end dernier, sont également accusés d'avoir bravé les forces de l'ordre.
Selon le conseil de Maître Chrysostome Blessy, qui a assisté au procès, quatre personnes ont été relaxées. Il estime que l'absence de procès-verbal sur les lieux des arrestations constitue une «faute flagrante». Les autres condamnés, dont 28 personnes à 36 mois de prison ferme, sont accusés d'avoir participé à une marche interdite et d'avoir causé troubles à l'ordre public.
Le procureur de la République, Oumar Braman Koné, a également évoqué l'existence de personnes poursuivies pour des faits d'actes de terrorisme. Il a cependant évité de donner les noms des accusés ou des détails sur les charges qui leur sont reprochées.
La situation à Abidjan reste tendue, avec des manifestations régulières contre le gouvernement et les hommes politiques du Front commun. Les jeunesse doivent être prudente pour ne pas se laisser manipuler par les menaces d'insurrection, selon Oumar Braman Koné.
Selon le conseil de Maître Chrysostome Blessy, qui a assisté au procès, quatre personnes ont été relaxées. Il estime que l'absence de procès-verbal sur les lieux des arrestations constitue une «faute flagrante». Les autres condamnés, dont 28 personnes à 36 mois de prison ferme, sont accusés d'avoir participé à une marche interdite et d'avoir causé troubles à l'ordre public.
Le procureur de la République, Oumar Braman Koné, a également évoqué l'existence de personnes poursuivies pour des faits d'actes de terrorisme. Il a cependant évité de donner les noms des accusés ou des détails sur les charges qui leur sont reprochées.
La situation à Abidjan reste tendue, avec des manifestations régulières contre le gouvernement et les hommes politiques du Front commun. Les jeunesse doivent être prudente pour ne pas se laisser manipuler par les menaces d'insurrection, selon Oumar Braman Koné.