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"Des milliers d'Américains saccroient contre l'autoritarisme grandissant de Trump"
Hier, un million et demi de manifestants ont défilé dans les rues américaines pour affronter la politique de Donald Trump. Les rassemblements, qui se sont déroulés à travers tout le pays, visaient non seulement le président, mais aussi ses politiques en matière d'immigration, d'éducation, de santé et de protection de l'environnement.
Le ton des manifestations était souvent pacifique et familiale. Mais les organisateurs n'ont pas caché leurs intentions : "Nous sommes ici pour combattre le fascisme", a déclaré Jess Sanchez, une jeune femme de 25 ans à Los Angeles. Pour elle et ses camarades, la société civile doit se mobiliser contre l'autoritarisme grandissant du président.
Les manifestations ont lieu quatorze mois après les premiers défilés "No Kings" en juin, où les Américains avaient dénoncé la politique de Trump. Cette fois-ci, c'est encore plus grand : selon les organisateurs, deux millions et demi de personnes sont passées à travers le pays hier.
Mais la réaction des partisans de Trump a été rude. Les déclarations des alliés du président accusaient les organisateurs de "promouvoir la haine de l'Amérique" et de célébrer des "terroristes". Ce qui est encore plus inquiétant, selon certains experts, c'est que le ton de la rhétorique de Trump a changé. Il cherche désormais à créer un ennemi intérieur.
Il semble donc que les Américains ne veulent pas attendre et accepter la politique de Trump. Les manifestations ont permis d'insuffler un peu de courage aux progressistes, qui peinent à trouver le ton ou la voix pour affronter le président.
Hier, un million et demi de manifestants ont défilé dans les rues américaines pour affronter la politique de Donald Trump. Les rassemblements, qui se sont déroulés à travers tout le pays, visaient non seulement le président, mais aussi ses politiques en matière d'immigration, d'éducation, de santé et de protection de l'environnement.
Le ton des manifestations était souvent pacifique et familiale. Mais les organisateurs n'ont pas caché leurs intentions : "Nous sommes ici pour combattre le fascisme", a déclaré Jess Sanchez, une jeune femme de 25 ans à Los Angeles. Pour elle et ses camarades, la société civile doit se mobiliser contre l'autoritarisme grandissant du président.
Les manifestations ont lieu quatorze mois après les premiers défilés "No Kings" en juin, où les Américains avaient dénoncé la politique de Trump. Cette fois-ci, c'est encore plus grand : selon les organisateurs, deux millions et demi de personnes sont passées à travers le pays hier.
Mais la réaction des partisans de Trump a été rude. Les déclarations des alliés du président accusaient les organisateurs de "promouvoir la haine de l'Amérique" et de célébrer des "terroristes". Ce qui est encore plus inquiétant, selon certains experts, c'est que le ton de la rhétorique de Trump a changé. Il cherche désormais à créer un ennemi intérieur.
Il semble donc que les Américains ne veulent pas attendre et accepter la politique de Trump. Les manifestations ont permis d'insuffler un peu de courage aux progressistes, qui peinent à trouver le ton ou la voix pour affronter le président.